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Sergent-chef Lucio Silva

5 participants

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Message par Lucio Silva Jeu 19 Aoû - 16:29

~°Marine°~

~°Présentation du Joueur°~

Prénom: Thomas
Age: 19
Ce que vous aimez: Les jeux de rôles, l’Histoire, manger, pléthore d’autres centres d’intérêts sans aucun intérêt…
Ce que vous n'aimez pas: Les choux(ah, si si, sérieusement), l’imbécilité crasse de certaines personnes, la bien-pensante hypocrisie de la société, et là encore, beaucoup d’autres choses diverses et variés.
Première Impression: Forum clair, lisible, on ne s’y perd pas
Autres :
Comment avez vous connu ce forum?: Par joueurs actuels interposés

~°Présentation du Personnage°~

Nom : Silva
Prénom: Lucio
Surnom: Sergent, la Fainéasse(officieux, ou tout autre surnom se référant à sa TRES mauvaise habitude.)…
Age: 29 ans
Sexe : mâle
Est-il existant ou inventé ? Inventé totalement, avec quelques références.
Description Psychologique ( 5 lignes minimum ):

Lucio n’a rien, non, rien, du marine exemplaire… La liste est longue, mais commençons par le commencement…

Lucio est, depuis son plus jeune âge, touché par une flemmardise quasi-pathologique. Une flemmardise qui, plus encore qu’un trait psychologique, est quasiment devenu un trait physique. En effet, l’homme s’endort à longueur de temps. Non, non, il ne somnole pas. Il dort. Ainsi est fait son corps. Habitué à une trop longue inaction, le « jeune » sergent n’a souvent cure de ce qui se passe à coté de lui. La seule chose lui important vraiment sont dormir, pioncer, faire une sieste, tomber dans les bras de Morphée et un paquet de métaphores diverses et variées.

Cependant, il n’est pas complètement amorphe. En effet, malgré une mollesse à toute épreuve, il arrive à conserver un sens des responsabilités certain, pour peu qu’il parvienne à sortir de sa léthargie permanente s’entend.

Un autre point rattrapant son sommeil perpétuel est une intelligence largement au dessus de la moyenne des bidasses de base. Oh, sans être un génie, il a une tête bien foutue et est parfaitement capable d’exécuter un plan ou un ordre, voir apporter des modifications en cas de coup dur. Bref, l’intelligence requise pour tout bon sous-officier.

Il n’a strictement aucune ambition. Vraiment aucune. Être à son poste était déjà une nécessité dont il se serait bien passée, alors aller plus loin, non. Et si obéir à des imbéciles comme supérieurs est nécessaire, il le fera. Obéir pour pouvoir dormir. Bien ça, comme adage... En même temps, sa personnalité est FAITE pour la docilité. Enfin, la docilité calculée, celle qui décide ce qu'elle accepte docilement... Dur à comprendre ? Franchement, vous avez déjà essayé de comprendre quelqu'un qui dort ? Hum ? Ok, expliquons mieux. L'ordre doit bien sûr cadrer avec l'objectif ultime de Lucio (inutile de le redire) et, dans tout les cas, sera appliqué avec une charge calorifique minimale.

Sa fainéantise a une autre conséquence : Lucio est un pragmatique, son pragmatisme se rapprochant de l’utilitarisme. Pourquoi ? Lorsque l’on accomplit quelque chose, on attend un résultat. Seul ce résultat compte. Le tout est de l’avoir. Inutile d’en faire trop. Et inutile également de faire quelque chose n’ayant aucun but.

La société se trouve être, pour lui-même, un vaste débat. Tout étant basé sur sa propension à la fainéantise, il fut logique, pour lui, d'envisager son rapport vis-à-vis d'elle en fonction de la fatigue que celle-ci apporterait. Aussi, après avoir effectué des "tests" sur cobaye, il s'est rendu compte qu'être un associal complet pouvait, malgré des avantages à court terme, apporter des ennuis durs à résoudre par la suite. De plus, les amis avaient l'insigne avantage de pouvoir résoudre SES galères à lui... Bon, c'est effectivement une conception un peu simpliste de l'amitié, mais ça lui allait. Là encore, le problème de Lucio était cette impossibilité d'atteindre la Flemme Totale, car amis ou pas, on devait entretenir ses relations. Là encore, c'était une concession qu'il avait à accorder. Après, se faire des amis avec une tension digne d'un poulpe... C'est dur.

En effet, tout lui semblait concession, la vie n'était qu'une grande concession, un peu de boulot pour un peu de sommeil. Le tout était de trouver la manière de bosser le moins possible et de "s'occuper de lui" le plus de temps possible. Et c'était bien la seule chose qui le guidait.

Description Physique ( 5 lignes minimum ):

Commençons par les caractéristiques physiques de base. Lucio est d’une taille respectable, sans être imposante, un bon mètre quatre-vingt, à tout casser. En revanche, sa stature est peut-être plus inquiétante. Le manque d’exercice a considérablement réduit la masse musculaire du sergent, mais aussi graisseuse. Manger fatigue, mangeons le minimum ! Il n’est pas squelettique, car alors porter les os seraient trop dur, il n’est pas gras, car sinon la graisse consommerait, demanderait plus de nourriture… Quelle horreur… Sa petite cinquantaine de kilos de carcasse parviennent sans problème à le porter, sans obliger son organisme à prodiguer à ses pauvres organes une quantité d’éléments nutritifs trop important. En résumé, Lucio est une perche, longue la perche, mais bien fine.

La deuxième chose qui pourrait marquer, c’est ses yeux. Enfin ce qu’il y a en dessous. Des cernes. De grandes, belles cernes bien marquées, accentuées par des paupières mi-closes en quasi-permanence.

Le visage n’a rien de particulièrement notable, bien que tout renseigne, aussi bien que son regard, sur son potentiel d’activité. La barbe est rasée, mais vaguement seulement, en effet une barbe qui pousse devient fatigante à entretenir, donc autant s’en séparer. Des cheveux relativement courts, bruns, et surtout horriblement mal coiffés, une sorte de tignasse composé non pas de cheveux et d’une mèche rebelle, mais de mèches rebelles avec de vagues cheveux ayant décidé de s’organiser d’eux-mêmes. Une autre particularité faciale : son "vague" sourire. Ou plutôt, sa manière de sourire. Un sourire, chez lui, dure longtemps. Très longtemps. Très très longtemps. Sa préparation dure longtemps. On ne sourit pas si c'est inutile. Par conséquent, le sourire est calculé. Se servir inutilement des zygomatiques est fatigant...

Une seule marque de son activité physique est notable, une cicatrice sur le bras droit, en dessous de l’épaule. Assez laide, d’ailleurs… Il n’aime guère en parler, d’ailleurs, mais manifestement, ce n’est pas un petit calibre qui a fait une marque de cette largeur.

Sa manière d'agir toute entière proclame que cet homme, faute d'être le "Roi des Pirates", est au moins le "Roi Fainéant"... Le pas lent et trèèèès mesuré, une manière d'agir au ralenti, de manière posée... Les seuls moments où il semble se réveiller se comptent au nombre de deux : Dégainer, et retourner se coucher. Très important, le deuxième.

La marine lui a fourni un avantage énorme, l’uniforme, inutile de choisir ses vêtements tout seul, ses supérieurs l’ont fait pour lui ! Il est donc vêtu en permanence de son bon vieil uniforme de sergent, là encore, mis suffisamment bien pour qu'aucun supérieur ne vienne lui chercher des noises, mais ne cherchez pas de trace de soin particulier. Son seul vêtement non-réglementaire : sa ceinture, avec une multitude de petites poches, bourses ou rangements pour ustensiles divers et variés. A celui-ci est accroché un fourreau, dans lequel il range son arme, un pistolet de gros calibre. Notez que l'arme, elle, est parfaitement astiquée, huilée, chargée, en bref dans un état impeccable. Une arme en bon état, c'est un bataille qui finit dix minutes plus tôt... Il parait.

Pouvoir/capacité :

Lucio n’a pas de grandes capacités physiques. Il a de bonnes capacités intellectuelles, mais mets trop de temps pour se réveiller pour qu’on puisse considérer celle-ci comme incroyablement développé. Non, le vrai talent de Lucio, c’est le combat à distance. Pourquoi ? Que faire, quand on tire, pour atteindre sa cible ? Retenir sa respiration, et patienter. Que fait Lucio ? Il dort les trois quarts du temps. Et quand on dort, on patiente et on respire lentement. Oui, Lucio a un organisme taillé pour le tir. Même ses yeux, à moitié fermés en permanence, semblent acquérir un soupçon de vitalité lui permettant généralement d’atteindre des cibles là où bien d’autres tireurs viseraient largement à coté. Et puis le tir ne demande pas, Dieu merci, de se fatiguer trop…

Grade : Sergent-chef. Lucio a le grade qui lui correspond parfaitement, exploitant son intelligence, sans pour autant lui donner une charge de travail trop importante… Pour un homme normal. Pour lui, le simple fait d’être debout EST fatigant. Mais il s’acquitte de sa tâche en bon marine. Et ne compte pas changer de grade. Jamais. Touchez pas à ses galons.

Nom de votre supérieure : Inconnu pour l’instant

Fonction au sein de l'équipage : Combattant, sous-officier.

Histoire ( 30 lignes minimum ):

Ou « l’histoire du Dormeur »… Passons. Au début de notre histoire, sa naissance. Non, ridicule. Allons directement à la suite, son enfance. Lucio est né il y a de cela 29 longues (courtes, quand on dort) années.

Les dix premières furent consacrées en grande partie à l’art de la sieste. Inutile d’en décrire plus sur ce point là, ça ne servirait qu’à peu de choses. Endormir le lecteur, à la rigueur, ce serait bien le comble.

Le sergent n’a pas eu une enfance malheureuse, mais des plus classiques, sur une petite île perdue de North Blue, où les oiseaux chantent, le soleil brille et le ciel est bleu. En bref, une île d’un ennui mortel. Et ça, ça lui plaisait.

Son père était maçon, dans un village devant compter dans la quarantaine de masure, au grand mot, sa mère, femme au foyer. Difficile de faire plus classique (populaire, diront certains), mais là encore, c’était la belle vie pour le jeune garçon.

Tout a commencé à basculer, et en mal, au moment où son père s’est mis en tête de le… former ? Oui, le former. Lui, le dormeur professionnel, on voulait lui faire opérer un brusque retour sur sa carrière pourtant prometteuse ! C’était intolérable. Mais pour un temps, il la ferma, et obéit à monsieur son père.

Et puis un jour, environ un an après le début du calvaire, ce fut l’illumination ! Oui, l’illumination ! Enfin, le boulet de canon, avant ça… Le TIR du boulet, même. Au loin, lors de sa quatrième sieste de la journée, un navire de la marine passait dans le coin. Entraînement ? Accident ? Une poursuite ? Il ne sait pas pourquoi ce navire avait commencé à tirer. Mais il eut l’idée simple de partir se faire une nouvelle vie là-bas, dans la marine, n'importe où où on ne l'obligerait pas à porter des briques en fait. Oui, ça collait. Une minute… Un flemmard dans l’armée ? L’administration, mes amis ! C’est à ça qu’il pensait ! Car n’importe quel imbécile sait qu’un organe grand comme la marine a besoin d’autant de scribouillards que de matelots !

Il parti donc quelques temps plus tard (là encore, sa mémoire est floue, une semaine, deux peut-être…) pour la base la plus proche. Mais là s’opéra ce qu’il n’avait pu prévoir. Il lut mal son contrat(une mauvaise nuit ?) et signa pour devenir bel et bien un marine. Il venait de passer de Charybde en Scylla.

Il allait vite découvrir qu’entre les corvées, le travail du marine et les punitions pour « sommeil durant le service », la vie allait s’avérer particulièrement désagréable… Et il était impossible de se sortir de cette galère. Et quand bien même ? Retourner voir son père ? Porter de la caillasse à longueur de journée ? La belle affaire ! Ici, s'endormir sur les voiles apportait un peu de sécurité qu'un échafaudage peinait à fournir ! Comment ? Une histoire de cordage, semble-t-il... En tout cas, il a vite trouvé le truc.

La chance lui valut d’abord d’être remarqué par le capitaine de son bâtiment. Bon, avoir été retrouvé suspendu à un mat endormi avait DÉJÀ fait remarqué Lucio... Disons remarqué en BIEN. En effet, Lucio se révéla être un excellent tireur. De là, il gagna ses premiers galons. Il nota de premiers effets positifs : son temps consacré à sa personne pouvait prendre plus d’importance. En effet, les gradés ont-ils besoin d’éplucher les patates ? Bien sûr que non ! Mais ils ont des responsabilités… Moins de corvées physiques, plus de responsabilités… Tout se jouait sur ce dilemme cornélien. Dur. Mais un dilemme peut être résolu. Et c’est donc le choix du « soldat modèle » qu’il fit.

C’est ainsi que, peu à peu, sans trop d’effort, ne montrant que le minimum de capacités requises, il monta dans les échelons, sans trop de mal grâce à ses talents de tireur au début, puis en s’aidant de sa tête par la suite.

C’est ainsi qu’il arriva, il y a un an, au grade de sergent-chef. A ce moment là, il se promit de ne plus jamais faire un seul effort au-delà du nécessaire. Sa carrière n’avait plus d’importance, il avait la place qu’il désirait tant. Celle où les responsabilités acquises sont inférieures en charge de travail aux corvées physiques. Il aurait pu quitter la marine après quelques années de service ? Peut-être… Mais Lucio ne pouvait plus, il lui appartenait, car, bien qu’il ne l’aurait jamais admis, cette marine, c’était maintenant sa famille.

Test RP: Attendre le feu vert d'un admin


Dernière édition par Lucio Silva le Ven 20 Aoû - 11:39, édité 4 fois
Lucio Silva
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Message par Monkey D. Luffy Jeu 19 Aoû - 22:18

Bienvenue, Adjudant !

ZZzzz

J'ai dit "Bienvenue, Adjudant !" alors on se réveille, y'a un commentaire à lire !

Ta fiche est vraiment marrante à lire on imagine bien le mec qui traine sa flemme partout où il va mais à mon avis tu devrais apporter quand même plus de détails par endroits, car c'est un peu light à certains passages :

exemple, est ce que Lucio est malgré sa flemme ambulante plutôt sociable ou introverti ? Souriant ou grincheux ? Respecte t-il un quelconque code de l'honneur ? etc etc

Il y a pas mal d'inconnues qui planent sur la mentalité du bonhomme même si on comprend bien l'idée générale qui est... ZZZzzz

Niveau physique idem,tu peux ajouter des détails, même si pour certains on les suppose; ça peut être par exemple sa démarche ( le type donne t-il l'air de porter le poids du monde sur ses épaules tellement il est fatigué ? ), sa manière de sourire ( ou l'inverse ) son teint de peau, son style vestimentaire ( est-il soigné, laisse t-il à désirer ? ) etc etc

Pour l'histoire aussi, tu pourrais proposer des anecdotes originales qui joue du côté feignant du personnage, pour le rendre plus particulier, plus attachant...ZZzzz

Allez c'était tout, bonne chance et bonne sieste !


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Message par Lucio Silva Ven 20 Aoû - 8:55

Gné ? Réveil ? ah... Et du boulot en plus...

Modifications faites, en tout cas la plupart, pour les anecdotes j'y penserai en cours de journée, merci beaucoup !

Edit : Suite à la remarque d'un autre joueur, modification du grade, également.
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Message par Ambassadeur du Jeu Fou Ven 20 Aoû - 16:41

Plop un membre du staff qui passe.

Bienvenue à toi tout d'abord.

Je n'ai pas lu ce qu'il y avait avant la critique de Luffy donc te dire si c'est mieux ou pas, je ne saurais pas le dire.
Par contre j'aime beaucoup la manière dont tu as écris ton histoire et ton personnage. Il rentre bien dans l'univers one piece (je le vois déjà marcher sur le pont comme un zombie, faire peur à ses collègues, etc... ). Pour l'histoire il est court, mais en même temps, il correspond très bien à Lucio.

Bref c'est un personnage que j'aime déjà et qui me fait déjà rigoler. Pour moi c'est bon tu peux faire ton test rp ^^.


Dernière édition par Serviteur du Jeu Fou le Dim 22 Aoû - 19:15, édité 2 fois
Ambassadeur du Jeu Fou
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Baron des psychopathes
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Message par Lucio Silva Sam 21 Aoû - 16:43

Bon, voilà pour le test rp :

----------------------------------------------------------------------------------------------------------

« Tu es sûr ?
- Une meilleure idée ?
- C’est vrai que la prime donne envie. Mais enfin… Lui ?
- Il n’y a pas d’autre tireur ! Pas aussi bon…
- Oui mais… Ce truc sera finit demain.
- Et ? C’est à deux cents mètres à pied ! Par temps clair ! Tu veux quoi ? Que le sol s’effondre sous nos pieds ?!
- Mais… C’est lui !
- On le portera…
- Notre supérieur…
- A se demander s’il le sait.
- Alvi !
- Bon, admettons, c’est notre supérieur ! Mais lui proposer un si bon plan… Bordel, c’est la seule chose qu’il sait faire ! Il peut pas refuser !
- Mais tu sais bien à qui tu veux t’adresser…

Les deux ombres s’éloignent peu à peu, continuant leur dispute sans fin… Peut-être serait-il bon maintenant de souligner pour le spectateur le théâtre de ce court passage tragicomique. La Marine a toujours cru bon de s’installer un peu partout sur les Quatre Océans, nonobstant, parfois, la quasi-absence de population, donc de butin, et, à fortiori, de pirates. Mais comme chacun le sait, les organismes armés n’en font parfois qu’à leur tête, et leur résister reviendrait à perdre la sienne… Par conséquent, sur cette petite île dont nous tairons, par respect pour les géographes, l’un des nombreux noms –des changements radicaux ayant été opérés au cours du temps, les cartographes se disputant encore sur la nomenclature exacte-, quelques marines s’ennuient.

Quoi de plus normal, pour l’homme de guerre moyen, sur une île moyenne, remplie de gens moyens, vaquant à leurs occupations aussi mesquines que moyennes, de s’ennuyer ? Pas la moindre action depuis plusieurs semaines, une bagarre dans une des auberges de la ville principale –peut-on appeler ça une ville ?-, en bref, rien.

Et c’est bien là le problème de nos deux compères. Mais revenons plutôt à leurs misères, et retrouvons les face à une porte.

« De la chance que la sentinelle nous laisse passer.
- Si ça se sait, on est bon pour la semaine de corvée…
- Tais toi, parle pas de malheur. Tous les autres s’emmerdent autant, pas nous qu’on va accuser.
- Vas-y.
- Quoi ?
- Toi qui as eu l’idée. Fonce.
- Mais…

Pas de réponse de son coéquipier. Poussant un soupir, il lève le poing, et frappe trois coups, résonnant d’un son creux, aux consonances funèbres… Rien. Trois autres coups, plus rapides. Toujours rien. Il hausse les épaules, pose la main sur la poignée, avant de sentir la poigne de son compagnon sur son épaule.

« Tu vas quand même pas…
- Mais tais-toi ! Tu le savais qu’on ne le réveillerait pas comme ça ! »

Et il ouvre la porte. Un silence de plomb résonne alors… Une minute… Depuis quand un silence résonne ? Un ronflement sonore résonne alors ! Oh, pas un petit ronflement. Le ronflement sonore, bruyant, violent, la seule chose de recherchée et travaillée dans cette chambre sobre et à moitié vide, les « krrrr » graves disputant aux petits « pschuit » de fin de cycle. En bref, un beau ronflement, un ronflement diplômé, entrainé, habitué aux rigueurs du dur sommeil de la vie. Et c’était le ronflement du sergent-chef Lucio Silva.

L’intrépide matelot Alvi se rapproche à pas du loup du lit, petit à petit, tout doucement… Il pose une main sur l’épaule de son supérieur, qu’il secoue vigoureusement. Le seul effet est une légère déformation du ronflement… Il secoue la tête. Bon, on n’a pas toute la nuit. D’un geste, il somme son comparse de fermer la porte, se dirige vers une lampe, qu’il allume, puis se rapproche du lit, à nouveau.

Il expire l’air de ses poumons, se concentre, puis inspire d’un grand coup sec et…

« SERGENT ! AU RAPPORT ! LA GARNISON EST ATTAQUÉE ! »

Le ronflement… ne stoppe pas. Doucement, il faiblit, pour ne devenir plus qu’un souffle… Un nouveau son s’élève de la loque humaine.

« C’est la guerre ? Appelez… quelqu’un d’autre… Je dors… »


Le matelot se penche, collant son oreille à la bouche de son supérieur.

« Pardon ?
- Pas mes oignons… Terminez votre guerre tout seul… Sommeil sacré… ‘Vous faire foutre… »

Le ronflement reprend soudain, plus fort, plus assourdissant, forçant Alvi à reculer précipitamment, se massant l’oreille d’une main… Un coup d’œil à l’autre matelot, puis vers le sergent… Le second se place de l’autre coté du lit… Avant qu’il ait eu le temps de dire « rzzz », le sergent se retrouve soulevé brutalement, puis porté à bout de bras par deux matelots manifestement légèrement pressé. Son « rzzrrmmmgn » se trouve situé à l’instant précis où le premier lui colle sa casquette sur le crâne.

« Outrage à supérieur… Je demande… Explications. »

Regard d’Alvi au second matelot. Bon.

« Sergent… On s’emmerde dans cette ville, pas vrai ?
- Et c’est très bien comme ça… Magnifique ville…
- Bon… Quoiqu’il en soit, pas avec nos paies qu’on pourra assurer nos vieux jours, pas vrai ?
- Sommeil… Pas cher… »

Il semble avoir acquis une position stable à peu près correcte, les deux matelots le lâchent enfin. Il en profite pour se diriger vers une chaise proche, avant de s’écrouler dessus. Au moins ouvre t-il un œil, œil au combien apathique et profondément désintéressé par les deux matelots. Le problème, c’est que les virer lui apporterait plus d’ennuis que les écouter.

« Deux minutes…
- On est « pas pressé ».
- Vous AVEZ deux minutes, crétin.
- Ah.

Alvi prend donc la parole. Le marché parait simple pour un travail simple. Cette ville réunit, chaque mois, les meilleurs tireurs de l’île, autrement dit, peu de monde, mais surtout de manière extrêmement informelle et illégale. Rien de bien méchant, mais la marine n’avait tellement intérêt à être au courant. Quoiqu’il en soit, à la base sont cantonnés deux excellents tireurs, le sergent, ainsi que, selon les dires d’un Alvi un peu bafouillant, qu’un autre matelot, lui aussi excellent tireur mais un peu plus… strict sur les règles, le règlement, le code de l’honneur et ce genre de chose qui empêche de se remplir les poches naturellement.

« Et ?
- Euh… Je viens de le dire, sergent. C’est vous le tireur qu’il nous faut. »

Le sergent lui lance un long regard vide. Qui dure. Qui dure. Qui… dure ? Les deux matelots se regardent, et l’intrépide Alvi se rapproche du sergent, claquant brutalement ses doigts devant son regard. Léger tressaillement.

« Et vous voulez que je rafle… la prime pour vous, c’est ça ?
- Exactement ! Contre une part, bien sur, peut-être moitié-quart-quart, et…
- L’argent ne m’intéresse pas. Pas plus que faire un concours… stupide pour m’amuser. »

Le matelot se gratte la tête, gêné, l’autre soupire en la secouant. L’un s’y était attendu, l’autre non.

« A moins que… »

Il se lève lourdement de sa chaise, pose une main tout aussi lourdement –Comment un homme si léger peut-il avoir la main si lourde ?- sur l’épaule d’Alvi, échange quelques mots avec lui. Regard incrédule du matelot, qui regarde son camarade, puis hausse les épaules. Le sergent fait alors un acte d’une sauvagerie sans borne ! Une dépense énergétique folle ! Il… sourit. Le sourire ne cadrait pas le moins du monde au visage, seule la commissure des lèvres se soulevant, sans aucun changement autre sur son visage, encore moins dans son regard. Il fait un brusque geste –enfin, brusque, on parle du sergent Silva…- leur intimant de sortie, et, baillant, ouvrit son armoire. Illégal. Donc pas de marine. Il laisse tomber au sol sa casquette et observe ses fringues. Il n’a rien. Ou si peu. Planquer l’uniforme sous son habit pour les grandes tempêtes, un long manteau marron. Ca pourrait faire l’affaire.

« Fait une demi-heure qu’il est là dedans !
- Evidemment. »

Le sergent ressort enfin, tête nue, uniforme intégralement recouvert. Il les regarde.

« Rassurez moi, vous avez quelque chose à vous mettre sur le dos ? A part votre uniforme ? Vous n’y allez pas pour un suicide collectif ? »

Surprise des deux marines, qui, trop interloquée par la cohérence apparente du dialogue de leur supérieur, repartent en courant sans dire un mot. Là encore, inutile de trop s’étendre sur leur sortie du fort, retrouvons nos trois compères plus loin. La ville. La rue.

« La fatigue… Trop… Fatigué…
- Courage, sergent, on y est bientôt !
- Tenez bon !
- C’est pas ma guerre… Abandonnez-moi là…
- Sergent, arrêtez votre char, ça fait vingt mètres qu’on est parti !
- Trop… Long… Lâchez-moi… Laissez-moi crever en paix, bordel… »

La nuit, le sergent ne peut fournir aucun effort, c’est un fait. Mais même cinquante mètres à pied lui semblait être un effort surhumain. Déjà le jour, notre « héros » n’est guère plus vaillant, mais il fait manifestement deux avec les expéditions nocturnes. Mètre après mètre, ils arrivent finalement, portant le sergent sous les bras, devant une petite ruelle, sombre, pas un bruit à part un rire lointain, en bref une ruelle où l’administration, plutôt que d’y mettre un panneau « impasse » ferait mieux d’y mettre un panneau « coupe-gorge ». Les joies du langage bureaucratique, sans doute.

Ils parviennent à le tirer jusqu’une sombre bâtisse, son enseigne claquant au vent. Difficile de lire ce qu’il y a écrit dessus, tant la crasse recouvre l’écriture déjà sombre. Une histoire de porc manifestement, ayant eu maille à partir avec l’aubergiste, son rouleau à pâtisserie ou tout autre objet contondant et potentiellement mortel.

Alvi écrase la porte de son épaule, ne pouvant dégager sa main du poids mort qu’il se trimballe avec son collègue. Un regard mélangeant surprise et profond ennui vient à leur rencontre, l’aubergiste reconnaissant manifestement les deux marines avant de soupirer. Il leur indique seulement une porte dans le fond. Ils y trainent, suant à grosses gouttes, leur cinquantaine de kilos de paresse, et défoncent à nouveau la porte. C’est une quarantaine de visage qui se tourne vers eux.

La pièce est énorme. Bien plus grande que ce que pourrait le faire penser la taille apparente de la salle principale, en tout cas. Suffisante pour installer un bon paquet de petits truands, père de famille ennuyé, jeunes hommes blindés d’hormones voulant montrer à leur camarade leur « courage » ou tout autre clique pouvant être attirés par ce qui peut être considérer comme quelque chose d’illégal, sans pour autant être « criminel ». Et ils attendent.

Quelques mots sont échangés, ils portent leur infortuné et ronflant sergent jusqu’une petite table installée au fond de la pièce… Mais pourquoi diable tous les points importants de ces tavernes se trouvent au fond d’une pièce ? Ils étalent le tireur sur la table, reprenant leur souffle sous le regard médusé de leur petit vis-à-vis.

« C’est pour ?
- Inscription… Concours…
- C’est noté. Nom ?
- Lucio Silva.
- C’est noté. Arme ? »

Temps d’attente. Alvi tente.

« Pistolet ?
- C’est noté. Déposez votre camarade dans un coin.
- C’est lui qui est inscrit. »

Second regard médusé du p’tit bonhomme. Et un nouveau ronflement qui s’élève du « sac » posé sur la table.

« Vous êtes sérieux ?
- Parfaitement.
- Bien… Vous qui voyez. Ca fera 20 000 berrys. La maison n’accepte pas le crédit. »

Alvi fouille ses poches, son camarade transportant le sergent jusqu’une table proche. Il se pose lui-même à la table.

« Quand est ce que ça commence ? »

Il sursaute. Il a parlé ?

« Je… Je ne sais pas, bientôt, sans doute. »

Un bâillement. Le sergent, s’étire et entrouvre son manteau, sortant de celui-ci un long calibre, le sien, à lui, pas à un autre, qu’il pose sur la table.

« Bientôt, j’espère. »

Une dizaine de minutes plus tard, Alvi revient avec, dans sa main, un papier.

[color=brown]« Bien, vous êtes le dixième concurrent. A deux minutes près, et c’était foutu. Venez. »

Cette fois, le sergent parvient à se lever par ses propres moyens, suivant son subordonné jusqu’à ce qui semblait être un champ de tir –petit, le champ de tir- improvisé. Coup d’œil à droite, à gauche, il ne semble repérer aucun concurrent sérieux… ça facilitera le travail, il pourra retourner pioncer plus vite.

Le petit homme monte sur une table, « proclamant » avec fracas mais sans perte que la « compétition » -un trop grand mot pour ce qui se passait là, sans doute-, allait commencer. Les concurrents étaient priés de rejoindre leur place. Les règles étaient sommaires, à entendre… l’organisateur ? En gros, il suffit d’atteindre le plus vite possible les cibles présentées, tirer sur le concurrent étant interdit, le désarmer également.

Décrire avec précision le tonnerre produit par la poudre à canon est une tâche bien trop ardue. Au bout d’une dizaine de minute de fusillade, un homme lève finalement un bras, manifestement très heureux de sa performance.

« Le prix sera pour moi, les gars ! »

Il se retourne vers l’arbitre/organisateur de petite taille, afin de signaler sa « victoire »… Et voit, à coté de lui, un autre homme, long manteau brun, en train de rouler calmement –lentement, même-, une cigarette.

« La première manche est remportée par le concurrent n°10 ! »

Evidemment, pense intérieurement le sergent Silva. Il range le pistolet dans son étui, toujours avec le même flegme le caractérisant.

« Tu vois ? Je t’avais dit que c’était le bon plan ! »

Alvi semblait remonté comme une pile. Regard dédaigneux du sergent, suivi d’un nouveau bâillement. Et il se dirige à nouveau vers le « stand de tir ». Même exercice, cible mouvante. Plus de description endormirait le lecteur aussi bien que le sergent l’est en permanence. La même grande gueule repose son fusil après une quinzaine de minutes, tout sourire. Il n’a pas pu gagner, cette fois… Personne. Personne au dixième emplacement, et…

« La seconde manche est remportée par le concurrent n°10 ! »

Et ça aurait pu continuer longtemps comme ça. Jusqu’au moment où Alvi, en sautant sur sa chaise, ne put retenir un magistral

« Continuez comme ça, sergent ! »

Et quarante paires d’yeux se tournent vers eux. Alvi déglutit lentement en voyant certains poser une main sur leur arme. Le sergent, prenant soudain conscience –peut-être- du danger, d’un mouvement imperceptible tellement il était lent, se décale vers ses deux subordonnés.

« On ferait mieux d’y aller… Toute façon, je commence à… fatiguer… »

Tout aurait bien pu se passer, mais soudain, dans le fond, la voix du tireur mécontent s’élève.

« C’était un piège d’la marine les gars ! Chopez les ! »

Les deux marines encore assis se dressent brusquement et commence courageusement à… opérer un repli tactique, communément appelé la « fuite », tactique bien connue de la plupart des militaires avec quelques années de bouteille. Même notre flegmatique sergent les talonne de près, parvenant à claquer derrière lui la porte qui résonne soudain du petit bruit mat produit par le couteau s’enfonçant dans le bois. L’intégralité des clients de la salle principale les regardent, mais les marines ne prennent guère le temps de souffler, et sortent en trombe de l’auberge, bientôt poursuivis par une dizaine de petites frappes, suffisamment nombreux pour leur causer de menus problèmes de santé.

« Tirez, sergent, tirez !
- Et les rapports, vous y avez pensé, bande d’abrutis ! La quantité de rapport s’il y a un mort ! Pas question ! Taisez vous et… courez ! »

Le problème, c’est que quand on est à moitié endormi, et qu’on manque d’exercice physique, on manque de souffle. Heureusement, quand on a deux pécores pour remplacer ce souffle, ça passe tout seul. Ils le saisissent en effet bien vite, comprenant parfaitement que l’état physique du sergent ne garantit pas sa survie.

Deux cent mètres, c’est court. Entrer dans une caserne, c’est rapide. Mais si la sortie avait été discrète, le retour le fut moins, notamment à cause de la bande de braillard à leur trousse. Et c’est bientôt l’ensemble de la garnison sur le pied de guerre qui commence à se lever, arme au poing. C’est beau, une cinquantaine de marines prêts à battre le rappel, pour combattre courageusement… Personne. Ce qui est bien avec le bandit de bas-étage, c’est que lui aussi connait la tactique du repli stratégique.

Alvi se retient de rire de soulagement, son camarade claque encore des dents, et au sol, le sergent… Dort. Jusqu’au moment où un pied bardé de fer claque brutalement devant lui. Il ouvre un œil, regardant méchamment –endormi, surtout-, le gêneur. Un vague sourire gêné apparait sur son visage, suivi d’un déglutissement bruyant.

« Capitaine…
- Quelques explications ne seraient pas de trop !
- Je suis sûr que…
- Que vous êtes bons pour souffrir… tous les trois. »

Soupir des deux bidasses et… sourire du sergent ?

Le lendemain, dans les cuisines du baraquement, on entend une bien singulière conversation entre deux marines.

« Je t’avais dit que c’était une mauvaise idée…
- Si seulement… Si seulement…
- Si seulement tu l’avais fermé !
- Désolé. Mais n’empêche… Il avait prévu le coup, l’autre feignasse. »

Soupir du camarade, il sait que l’autre à raison. Comme pour appuyer ses dires répond, au loin, un ronflement se fait entendre. Le ronflement provient d’un troisième marine, assis sur une chaise légèrement en appui sur le mur, qui, avec un torchon sur les yeux, dort, tout simplement, un grand sourire aux lèvres, avec l’intense satisfaction d’avoir « offert » à deux bidasses deux semaines de corvées supplémentaires.


-----------------------------------------------------------------------------------------------------

Désolé pour les couleurs qui ne sont pas forcément judicieusement choisies, mais comme j'ai fait le choix d'employer pas mal de PNJ -ceci n'étant qu'un test-, j'ai galéré un peu sur la fin pour les choisir... Voili voilou...
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Message par Vilgrim Sam 21 Aoû - 17:06

Faut dire ce qui est, c'est un bon récit. J'ai apprécié la lecture, ton style et tes touches d'humour. Le problème, c'est que tu ne nous montres pas comment tu joues ton personnage, là, tu l'as inclu dans une nouvelle, ce qui est totalement différent d'un post RP.
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Message par Lucio Silva Sam 21 Aoû - 17:22

Je vois ce que tu veux dire, mais à la troisième personne(style que je conte utiliser), avec un perso dormeur et pas un pet de scénar de base ou de PJs "autres", j'ai improvisé... Mais je comprends parfaitement, ça me faisait un peu peur, ce point-là... J'attends encore un peu, je changerai plus tard.
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Message par Ambassadeur du Jeu Fou Dim 22 Aoû - 20:09

Comme je te l'ai, dis j'aime la manière donc tu racontes ton histoire, qui se rapproche un peu du style de Nethiel, avec un narrateur beaucoup plus calme que le sien ^^.

Mais je rejoins Vilgrim dans son commentaire, ça fait plus nouvelle que rp. Donc j'aimerais que tu me réécrives tout ça avec la même histoire, mais version plus rp.

Dis nous quand tu as finis ta modification ^^

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Message par Lucio Silva Dim 22 Aoû - 23:11

RP TEST

Le ronflement s’élève dans la pièce. Bien. On est bien. Si bien. Note dans le journal intime à la date d’aujourd’hui : Rien. Souligné trois fois. Autrement dit, une bonne journée. C’est ce qu’était dit Lucio en allant se coucher ce soir là –en RETOURNANT se coucher ce soir là-. Il n’avait rien à dire sur cette journée, dans cette île paradisiaque tellement ennuyeuse...

Trois coups à la porte… Nouvelle suite de trois coups… Laissez moi dormir, pourrait penser Lucio, si seulement il était capable de se réveiller… La porte s’ouvre, deux ombres entrent. Une vague sensation de pression sur l’épaule. Le lâcher. Lâchez-le. Monstres sans pitié ! Dormir… Dor…

« SERGENT ! AU RAPPORT ! LA GARNISON EST ATTAQUÉE ! »

Mmmh. Monstres. Pirates. Brigands. Le ronflement diminue petit à petit, le sergent se raccrochant aux parcelles de son monde onirique –vide, il s’entend, un rêve complexe est tellement fatigant à imaginer…-. En un souffle, il parvient à aligner quelques mots.


« C’est la guerre ? Appelez… quelqu’un d’autre… Je dors… »


Il ne comprend pas ? Et en plus il se rapproche ! Monstre ! Eloigne toi ! Oui, exactement le genre de réaction qu’il aurait eu envie d’avoir. Mais il est le Sergent-chef « la Feignasse »… Et ce n’est pas pour rien. Ce qui se transforme en

« Pas mes oignons… Terminez votre guerre tout seul… Sommeil sacré… ‘Vous faire foutre… »

Bien, il le laissera tranquille maintenant. Le ronflement reprend, violent, grave, sans retour possible. On peut retourner rêver, le passage le plus intéressant, celui où on commence à faire la sieste, notamment.

Un choc, il se sent soulevé, réveillé dans son intimité –ou quelque chose comme ça, mais le verbe réveiller est bien assez intense et horrible comme ça-, on lui colle sa casquette sur le crâne avant même qu’il ait pu prononcer son fameux « rzzrrmmmgn »… En bref, ça craint. Et voila le gars qui l’a réveillé l’emmerder à propos de l’ennui. Oui, on s’emmerde…

« Et c’est très bien comme ça… Magnifique ville… »

Et l’autre qui n’abandonne pas. Assurer nos vieux jours ?

« Sommeil… Pas cher… »

Dit-il, philosophe épicurien qu’il est. Il parvient à coordonner ses muscles suffisamment pour tenir debout par ses propres moyens. Bien. Ils peuvent le lâcher. Lâcher le. Maintenant. Comment faire pour qu’ils le lâchent ? Leur dire ? Fatigant… Ah, ils le lâchent. Bien. Il aperçoit une chaise –mais QUAND a-t-il trouvé la force d’amener cette chaise là ?- et va s’écrouler dessus.

« Deux minutes… »

Leur laisse t-il… Il n’a pas l’air de comprendre, l’imbécile, en plus… Non, il ne sera pas réveillé dans deux minutes,

« Vous AVEZ deux minutes, crétin. »

Ah, il a l’air d’avoir compris, ce coup-ci… Alors le sergent l’écoute. Cette ville réunit, chaque mois, les meilleurs tireurs de l’île, autrement dit, peu de monde, mais surtout de manière extrêmement informelle et illégale. Rien de bien méchant, mais la marine n’avait tellement intérêt à être au courant. Quoiqu’il en soit, à la base sont cantonnés deux excellents tireurs, le sergent, ainsi que, selon les dires d’un Alvi un peu bafouillant, qu’un autre matelot, lui aussi excellent tireur mais un peu plus… strict sur les règles, le règlement, le code de l’honneur et ce genre de chose qui empêche de se remplir les poches naturellement. Ok… Mais en quoi ça le concerne ?

« Et ? »

QUOI ! Lui leur tireur ! Mais ça va pas la tête ! C’est la nuit ! Oui, bien sûr, le sergent ne montre rien de ses émotions… Trop fatigant. Quel intérêt de faire ça ? Passage en mode méditation… Claquement de doigt du trouffion devant son visage. Sortie du mode méditation… Si, une idée.

Il se lève lourdement de sa chaise, pose une main tout aussi lourdement –Comment un homme si léger peut-il avoir la main si lourde ?- sur l’épaule du matelot, échange quelques mots avec lui. Simple.

« Deux semaines. Deux petites semaines. »

Regard incrédule du matelot, qui regarde son camarade, puis hausse les épaules. Le sergent fait alors un acte d’une sauvagerie sans borne ! Une dépense énergétique folle ! Il… sourit. Le sourire ne cadre pas le moins du monde au visage, seule la commissure des lèvres se soulevant, sans aucun changement autre sur son visage, encore moins dans son regard. Il fait un brusque geste –enfin, brusque, on parle du sergent Silva…- leur intimant de sortie, et, baillant, ouvrit son armoire. Illégal. Donc pas de marine. Il laisse tomber au sol sa casquette et observe ses fringues. Il n’a rien. Ou si peu. Planquer l’uniforme sous son habit pour les grandes tempêtes, un long manteau marron. Ca pourrait faire l’affaire.

Le sergent ressort enfin, tête nue, uniforme intégralement recouvert. Il les regarde. Tout les deux en uniforme.

« Rassurez moi, vous avez quelque chose à vous mettre sur le dos ? A part votre uniforme ? Vous n’y allez pas pour un suicide collectif ? »

La suite, il ne suit pas vraiment. Il se « réveille » dans la rue, épuisé.

« La fatigue… Trop… Fatigué…
- Courage, sergent, on y est bientôt !
- Tenez bon !
- C’est pas ma guerre… Abandonnez-moi là…
- Sergent, arrêtez votre char, ça fait vingt mètres qu’on est parti !
- Trop… Long… Lâchez-moi… Laissez-moi crever en paix, bordel… »
La nuit, le sergent ne peut fournir aucun effort, c’est un fait. Mais même cinquante mètres à pied lui semblait être un effort surhumain. Déjà le jour, notre « héros » n’est guère plus vaillant, mais il fait manifestement deux avec les expéditions nocturnes. Mètre après mètre, ils arrivent finalement, portant le sergent sous les bras, devant une petite ruelle, sombre, pas un bruit à part un rire lointain, en bref une ruelle où l’administration, plutôt que d’y mettre un panneau « impasse » ferait mieux d’y mettre un panneau « coupe-gorge ». Les joies du langage bureaucratique, sans doute.

Les deux marins le tirent un peu plus loin, jusqu’à arriver devant une sombre bâtisse. Son enseigne claque au vent. Difficile de lire ce qu’il y a écrit dessus, tant la crasse recouvre l’écriture déjà sombre. Une histoire de porc manifestement, ayant eu maille à partir avec l’aubergiste, son rouleau à pâtisserie ou tout autre objet contondant et potentiellement mortel.

Le premier marine défonce la porte d’un coup d’épaule… Puis une deuxième. Il sent vaguement des gens le regarder. Ce qu’il ne sait pas, c’est que « des gens » correspond à une quarantaine de personne au bas mot. Génial.

Il ouvre un œil, juste assez longtemps pour apercevoir les dimensions de la pièce. Grande. Très grande. Avec ce qui semble être un stand de tir au fond. Sale. Très sale. Avec ce qui semble être… quelque chose au fond.

Tiens, ils n’avancent plus ? Les deux marines le soulèvent et le posent sur une table, où il se rendort aussi sec. De loin, dans son état de semi-conscience, il entend le plus courageux –inconscient ?- des deux l’inscrire, puis la voix manifestement perplexe de ce qui semble être l’organisateur. Tout petit, l’organisateur, marrant ça. Il se sent à nouveau soulevé, et assis sur une chaise. Il daigne ouvrir un œil. C’est pas tout ça, mais

« Quand est ce que ça commence ? »

Le marin sursaute, et bafouille une réponse vaguement positive, un

« Je… Je ne sais pas, bientôt, sans doute. »

Ce à quoi notre philosophe sergent réplique simplement

« Bientôt, j’espère. »

L’autre revient. Stand n°10 ? Pas de problème. Il se lève et se dirige d’un pas « leste » vers l’emplacement de tir. Bien, quand faut y aller. Il caresse le pistolet légèrement… Démesuré ? Non, pas à ce point, mais bien loin du pistolet conventionnel du marine classique. Fabriqué tout spécialement pour lui, alliant puissance et précision. Un petit bijou.

Il écoute vaguement les instructions données –il comprend que tout acte létal ou non sur d’autres concurrents est interdit-, puis se prépare, chargeant minutieusement son arme. Où sont les balles ? Il écarte très légèrement le manteau, dévoilant sa ceinture à poches multiples, y prélève poudre, balles, de quoi faire gueuler la « bouche-à-feu », en bref.

Coup d’œil à droite, à gauche, il ne semble repérer aucun concurrent sérieux… ça facilitera le travail, il pourra retourner pioncer plus vite.

Décrire avec précision le tonnerre produit par la poudre à canon est une tâche bien trop ardue. Au bout d’une dizaine de minute de fusillade, un homme lève finalement un bras, manifestement très heureux de sa performance.

Il l’est moins en apercevant le sergent dormeur. D’une autre poche, celui-ci a tiré de quoi rouler une clope, qu’il lèche minutieusement pour la refermer –lentement, dirons certains-.

Il l’allume et se dirige, non sans une pointe de contentement à l’annonce de sa victoire, vers sa place. Deuxième manche ? Ok… Même scénario, décrire plus encore ne servirait à rien. Là où le sergent tique, c’est le magistral

« Continuez comme ça, sergent ! »

qu’envoit un de ses comparses, ainsi que le regard partagé à nouveau par la quarantaine de paires d’yeux qui se tournent vers eux. Même lui peut sentir la tension qui monte, c’est dire. Il se dirige lentement vers les deux matelots.

« On ferait mieux d’y aller… Toute façon, je commence à… fatiguer… »

Tout aurait bien pu se passer, mais soudain, dans le fond, la voix du tireur mécontent s’élève.

« C’était un piège d’la marine les gars ! Chopez les ! »

Les deux marines encore assis se dressent brusquement et commence courageusement à… opérer un repli tactique, communément appelé la « fuite », tactique bien connue de la plupart des militaires avec quelques années de bouteille. Même notre flegmatique sergent les talonne de près, parvenant à claquer derrière lui la porte qui résonne soudain du petit bruit mat produit par le couteau s’enfonçant dans le bois. L’intégralité des clients de la salle principale les regardent, mais les marines ne prennent guère le temps de souffler, et sortent en trombe de l’auberge, bientôt poursuivis par une dizaine de petites frappes, suffisamment nombreux pour leur causer de menus problèmes de santé.

Que… Ce matelot lui donne des ordres ! Tirer sur la foule ? Et puis quoi encore ? Immoral ? Non, il se la met là où la lumière ne brille jamais, la moralité, vu la situation !

« Et les rapports, vous y avez pensé, bande d’abrutis ! La quantité de rapport s’il y a un mort ! Pas question ! Taisez vous et… courez ! »

CA, c’est une bonne raison, de’dieu ! Le problème, c’est que quand on est à moitié endormi, et qu’on manque d’exercice physique, on manque de souffle. Heureusement, quand on a deux pécores pour remplacer ce souffle, ça passe tout seul. Ils le saisissent en effet bien vite, comprenant parfaitement que l’état physique du sergent ne garantit pas sa survie. Et il les remercie mentalement.

Deux cent mètres, c’est court. Entrer dans une caserne, c’est rapide. Mais si la sortie avait été discrète, le retour le fut moins, notamment à cause de la bande de braillard à leur trousse. Et c’est bientôt l’ensemble de la garnison sur le pied de guerre qui commence à se lever, arme au poing. C’est beau, une cinquantaine de marines prêts à battre le rappel, pour combattre courageusement, pense t-il d’abord… Mais combattre… Personne. Ce qui est bien avec le bandit de bas-étage, c’est que lui aussi connait la tactique du repli stratégique.

Un soupir de soulagement, dont le son augure le ronflement futur, sort de sa gorge. D’ailleurs, le ronflement sort.

Nouveau bruit sec devant lui. Il sursaute, regardant d’un regard mauvais –fatigué, surtout- le gêneur. Un vague sourire gêné apparait sur son visage, suivi d’un déglutissement bruyant. Ca alors, mon capitaine, quel heureux hasard… Et la punition tombe. Mais le sergent pense, intérieurement : « Deux semaines. » Des corvées de punition ? Oui, mais deux matelots, une dette de deux semaines. La belle vie en perspective.

------------------------------------------------------------------------------------------------

J'espère que ça passera, ce coup-ci Smile Modifs faites !
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Message par Ambassadeur du Jeu Fou Lun 23 Aoû - 19:41

Plop,

Alors voilou mon petit Lucio ce fut un agréable moment de lire ton test rp qui fait déjà plus rp que ton précédent essais. Ton narrateur, j’aime, ton perso, je l’aime aussi, bref j’ai rien à redire la dessus.


Je te mettrai un niveau 5 si aucune autre MJ n’est en désaccord avec moi. ^
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Message par Maître du Jeu de Loi Lun 23 Aoû - 20:12

Je valide ce que vient de dire le Chapelier Fou. Un moment très agréable ton test RP, bien meilleur que les précédents d'ailleurs.

Donc niveau 5 pour toi et une affectation au sein de l'équipage du Lieutenant-Colonel Gutz. On va bien rire avec Gutz "l'Inquisiteur" et Lucio "la flemme" sur le même navire Smile

Bienvenue à bord matelot, on espère que tu apprécieras la traversée !
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Message par Lucio Silva Lun 23 Aoû - 20:27

Banco, j'envoie donc, si j'ai bien compris, le mp avec les infos dotation/affectation etc etc...
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Message par Maître du Jeu de Loi Lun 23 Aoû - 21:01

Pour le moment t'attends d'être devenu "tout bleu". Ton MP tu me l'envoie et on verra à quelle sauce tu vas être mangé.

Point de vue dotations : c'est la marine, sauf objet "particulier" tout te sera gracieusement fourni par la Navy. Pour l'affectation : tu verras ça une fois rendu en RP (et quand tu nous auras dit où tu souhaites débuter l'aventure). Ceci dit, afin de peupler les équipages dépeuplés, les MJs se réservent le droit de te forcer un peu la main si besoin (on ne va pas laisser un Marine tout seul pas vrai ?).
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Message par Lucio Silva Lun 23 Aoû - 21:11

Certes, certes, mais... Après avoir discuté avec Ed/Gutz... Perdre mon perso décapité au bout de deux semaines me bottent moyennement, donc pour l'équipage de Gutz, bof-bof ^^'

Oh, et j'ai mp à fou, je dévie donc chez toi, Loi ?
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Message par Maître du Jeu de Loi Lun 23 Aoû - 22:00

Envoie une copie oui, s'il te plait. Et dommage que Garp ne soit plus là, vous vous seriez très bien entendu Smile
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Message par Lucio Silva Lun 23 Aoû - 22:08

Bien compris à nouveau, mp envoyé etc etc... Le personnage de Garp dans son ensemble m'a toujours bien fait rire, le joueur qui s'en occupait ne pouvait pas être foncièrement mauvais Very Happy
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