Quand les ennuis se présentent... [ Narnak ]
3 participants
One Piece Reign :: [RP] Les Océans :: East Blue :: Orange
Page 2 sur 2
Page 2 sur 2 • 1, 2
Re: Quand les ennuis se présentent... [ Narnak ]
Il avait plus de ressources que prévu, ce cher Narnak. Assez dans le bras pour faire valser le colonel en tous cas, et pour recommencer. Ysen avait gardé la main accrochée à la chemise de son adversaire pour amortir quelques peu sa chute, et dans l'optique d'une éventuelle riposte, mais c'est sur que si on ne lui en laisse pas le temps, se farcir un petit vol plané n'est pas mal non plus... Le deuxième atterrissage avait été quelques plus tangent cela dit. La table avait tenu le coup mais il en avait tout de même eut le souffle coupé quelques temps. Le temps de reprendre sa respiration en fait, juste assez pour laisser les deux autres quitter la taverne avec les jambes au cou.
"Allez voir la caserne du village, prévenez le responsable qu'il a deux fugitifs sur les bras et que tous les moyens qu'il juge nécessaires sont à déployer."
Ysen n'avait aucune idée des forces en place sur ce gros morceau de caillou. Mais toutes les mains seraient bonnes à prendre, il allait en falloir pas mal pour se charger de ce malade d'ailleurs. Leurs ordres reçus, les deux marines foncent dans les rues pour les accomplir. Ils n'ont déjà pas réussi à attraper une gamine, ils n'allaient pas risquer plus de sanctions en perdant le temps du colonel, qui promettait d'être furieux le soir venu.
Licinius ne perdit pas plus de temps lui aussi. Il fonça par le trou béant de la taverne à la poursuite de Narnak, la petite ne représentant pas un très grosse menace à côté de lui. Il ne le voyait pas, mais son sang avait été dispersé derrière lui. Apparemment, il a pris la direction du port, si sa trace s'estompait, une grande quantité de marines étaient disponibles par là.
Pourquoi va-t-il par là ? Il ne voit pas le drapeau de la mouette ?
Mais il insiste en plus !
Il réapparait dans le champs de vision d'Ysen également. Et il approche à toute vitesse du White Mustang aussi. Qui a quelques prisonniers dans ses cales.
Ysen n'aimait pas ça. Les évènements prenaient très vite des allures désagréables. Il ne fallait pas que ce malade puisse libérer les hommes détenus dans la cale, sinon, il y aurait encore plus de grabuge. Et Ysen n'aimait pas ça, le grabuge.
Du coup, on s'arrête une fraction de fraction de seconde sur un pied, on se laisse tomber gentiment en avant et... On fonce. On se rapproche vite, très très vite. Il a presque atteint la rampe d'accès le bougre, et où sont les gardes supposés s'assurer que les civils ne montent pas sur le navire ? Ils sont venus chercher le colonel à la taverne ? Bon. On en connait quelques uns qui vont passer un mauvais quart d'heure dans pas longtemps. Mais pour le moment, il y a plus urgent. Le cinglé qui est devant le White Mustang, par exemple. Gagner du temps, donner l'alerte, botter des postérieurs. Tout un programme.
Gagner du temps: Quel est le moyen le plus rapide de monter sur le navire ? Des caisses au bord du ponton permettraient de se lancer plus facilement sur la rampe. Mais on va atterrir juste devant ce grand malade à la main qui saigne. Pas bon. On se dépêche de se débarrasser de sa veste -elle est pleine de sang de toute manière- et on se jette en l'air. Une fois au sommet de la courbe, on jette la veste le fauteur de trouble avant de se réceptionner sur le morceau de bois. Le bois, ça se coupe, non ? On empoigne le wakisashi coincé dans la ceinture et on tranche une bonne moitié du bois en passant. C'est qu'il coupe bien, le wakisashi du colonel, il est court, mais il est plus efficace qu'un katana. Oh, et on se dépêche de se jeter sur le pont avant que le bois ne casse, ça pourrait être fâcheux.
Donner l'alerte: On arrive à atteindre le bois solide du bateau, c'est bon, c'est palpable. On se dépêche de se relever sans regarder la foule de marine qui ne comprennent pas pourquoi leur supérieur arrive ainsi sur son navire et qu'est-ce que a bien pu tomber dans l'eau aussi. On souri, mais ça c'est normal, on prend un grande inspiration et on hurle un beau, grand et fort:
"BRANLE BAS D'COMBAT !!!"
Voilà, ça, c'est fait.
On botte des culs: On garde ça pour le soir, il y en a quelques uns qui le méritent. Et surtout, il y a celui qui ne va surement pas tarder à arriver. Un lieutenant approche, qu'est-ce qu'il veut ? Il chuchote...
"Colonel, on fait quoi des prisonniers ?"
Bonne question. Et surtout, bonne manière de la poser. La réponse ne se fait pas attendre, trois mots déposés dans le creux de l'oreille du marin, qui s'empresse de se trouver trois comparses avec lesquels il disparait dans les entrailles du White Mustang. Le colonel, lui, se tourne pour faire face au ponton. D'après ce qu'il avait vu, Narnak n'allait pas se laisser tomber si facilement, et, surtout, sans se relever très rapidement.
"Allez voir la caserne du village, prévenez le responsable qu'il a deux fugitifs sur les bras et que tous les moyens qu'il juge nécessaires sont à déployer."
Ysen n'avait aucune idée des forces en place sur ce gros morceau de caillou. Mais toutes les mains seraient bonnes à prendre, il allait en falloir pas mal pour se charger de ce malade d'ailleurs. Leurs ordres reçus, les deux marines foncent dans les rues pour les accomplir. Ils n'ont déjà pas réussi à attraper une gamine, ils n'allaient pas risquer plus de sanctions en perdant le temps du colonel, qui promettait d'être furieux le soir venu.
Licinius ne perdit pas plus de temps lui aussi. Il fonça par le trou béant de la taverne à la poursuite de Narnak, la petite ne représentant pas un très grosse menace à côté de lui. Il ne le voyait pas, mais son sang avait été dispersé derrière lui. Apparemment, il a pris la direction du port, si sa trace s'estompait, une grande quantité de marines étaient disponibles par là.
Pourquoi va-t-il par là ? Il ne voit pas le drapeau de la mouette ?
Mais il insiste en plus !
Il réapparait dans le champs de vision d'Ysen également. Et il approche à toute vitesse du White Mustang aussi. Qui a quelques prisonniers dans ses cales.
Ysen n'aimait pas ça. Les évènements prenaient très vite des allures désagréables. Il ne fallait pas que ce malade puisse libérer les hommes détenus dans la cale, sinon, il y aurait encore plus de grabuge. Et Ysen n'aimait pas ça, le grabuge.
Du coup, on s'arrête une fraction de fraction de seconde sur un pied, on se laisse tomber gentiment en avant et... On fonce. On se rapproche vite, très très vite. Il a presque atteint la rampe d'accès le bougre, et où sont les gardes supposés s'assurer que les civils ne montent pas sur le navire ? Ils sont venus chercher le colonel à la taverne ? Bon. On en connait quelques uns qui vont passer un mauvais quart d'heure dans pas longtemps. Mais pour le moment, il y a plus urgent. Le cinglé qui est devant le White Mustang, par exemple. Gagner du temps, donner l'alerte, botter des postérieurs. Tout un programme.
Gagner du temps: Quel est le moyen le plus rapide de monter sur le navire ? Des caisses au bord du ponton permettraient de se lancer plus facilement sur la rampe. Mais on va atterrir juste devant ce grand malade à la main qui saigne. Pas bon. On se dépêche de se débarrasser de sa veste -elle est pleine de sang de toute manière- et on se jette en l'air. Une fois au sommet de la courbe, on jette la veste le fauteur de trouble avant de se réceptionner sur le morceau de bois. Le bois, ça se coupe, non ? On empoigne le wakisashi coincé dans la ceinture et on tranche une bonne moitié du bois en passant. C'est qu'il coupe bien, le wakisashi du colonel, il est court, mais il est plus efficace qu'un katana. Oh, et on se dépêche de se jeter sur le pont avant que le bois ne casse, ça pourrait être fâcheux.
Donner l'alerte: On arrive à atteindre le bois solide du bateau, c'est bon, c'est palpable. On se dépêche de se relever sans regarder la foule de marine qui ne comprennent pas pourquoi leur supérieur arrive ainsi sur son navire et qu'est-ce que a bien pu tomber dans l'eau aussi. On souri, mais ça c'est normal, on prend un grande inspiration et on hurle un beau, grand et fort:
"BRANLE BAS D'COMBAT !!!"
Voilà, ça, c'est fait.
On botte des culs: On garde ça pour le soir, il y en a quelques uns qui le méritent. Et surtout, il y a celui qui ne va surement pas tarder à arriver. Un lieutenant approche, qu'est-ce qu'il veut ? Il chuchote...
"Colonel, on fait quoi des prisonniers ?"
Bonne question. Et surtout, bonne manière de la poser. La réponse ne se fait pas attendre, trois mots déposés dans le creux de l'oreille du marin, qui s'empresse de se trouver trois comparses avec lesquels il disparait dans les entrailles du White Mustang. Le colonel, lui, se tourne pour faire face au ponton. D'après ce qu'il avait vu, Narnak n'allait pas se laisser tomber si facilement, et, surtout, sans se relever très rapidement.
Licinius Ysen- Shirookami
- Localisation RP : South Blue
Rang/Grade : Colonel
Supérieur : Amiral Tsuru
Feuille de personnage
Points de vie:
(600/600)
Re: Quand les ennuis se présentent... [ Narnak ]
Ptain qu’est-ce que jfous là moi ?
C’quoi c’bateau, là ?
Pourquoi il a des cheminées ?
Pourquoi il est grand comme de là à là ?
Ptain ?
Ptain !
"Narnaaaaaaaaaaaaaak... je me meurs..."
Ptain !!
Quel enclumé de fils de péripatéticienne a osé touché à toi, ma poulie ?!
Un bleu, hein ? Un mouetteux, ouais. Un encombré du neurone qui t’a pris pour un vulgaire paquet d’algues et qui t’a foutue à la baille d’un coup de botte négligent. Un sous-fifre de ce colonel.
Grmh... Zen, respire.
Grmh...
... C’tait quoi ça ?! L’ombre. Là.
Ha, crénom ! C’qu’il m’a largué ses plumes dessus c’t’oisal tout blanc ! Ha, saloperie, lâche-moi, mais lâche-moi ! Gneuh ! ... Haha, tfais moins la maligne coupée en deux, la veste, hein !? Même rouillé il a finalement son utilité ce ptit sabre récupéré hier. Paix à ton âme gamin.
Bon, à nous deux maintenant. Chef.
"YSENNN !!"
"Jveux celui d’tes gars qui m’a buté ma poulie ici dans moins de deux minutes ! T’as compris ?!"
Il a pas compris. Les cyclopes d’acier braqués sur toi non plus z’ont pas compris, mon ptit Kan. Grmh. Ca va tirer... Ca va tir- La passerelle !
Yaaah, ma ch’ville bordel ! Encore un de tes coups de vicieux, hein chef ? Vive le réflexe de sauter quand tu sens le sol se faire la malle sous les panards, mh. Enfin maintenant j’ai l’air d’un con suspendu au bastingage par les coudes. Ne pas lâcher la lame. Ne pas lâch-
Hmf. Vla, on s’sent mieux sur un pont ferme.
... Sauf avec deux canons braqués sur chaque tempe.
"Yo ! On vous a pas prévenus, les ptit gars ?"
Prévenus de quoi ? pensent vos cerveaux. Jle vois dans les yeux marrons du ptit jeune, là. Jvais te le dire, fiston. Bouge pas. Bouge pas ou ça va faire mal. Prévenus que le Narnak est un carnassier.
"Prévenus que chuis là pour aider. Y a un malade qu’arrive de la ville."
Pas b’soin d’être convaincant. C’pas le but. Juste troubler leurs cortex le temps d’une seconde d’analyse qu’ils auraient pas dû perdre. Fallait tirer dès que vous avez vu ma gueule pleine de sang les mômes. Bam ! Désolé grand blond, tu vas pas pouvoir hausser les épaules avant un ptit moment. Pif, dans la trompe le rouquin. Bonjour à ton infirmière. Sbaarg, tiens, un peu de colle pour ta mâchoire le gros...
Merde.
Sgargl, c’est joli comme mot fiston. Mais t’aurais pas dû. T’aurais pas dû m’attraper par derrière. Me flinguer, fallait m’flinguer dans le dos. Maintenant t’as mon sabre dans la gorge et moi un meurtre de moujingue sur les bras. Merde. Réflexes de con.
"YSEEEEN !!"
C’est d’ta faute cette connerie. T’aurais percuté plus vite l’allusion sur la môme, on se s’rait caillassés en douceur. J’t’aurais accompagné ou précédé au bateau de la miss, t’aurais dit "j’la prends", j’t’aurais dit "non" en r’prenant cette satanée poulie, on se serait mis dessus tranquillous et l’un de nous deux aurait fini à la flotte pendant que la gamine se carapatait tranquille et tu la retrouvais pas. Jlui fais confiance pour savoir s’échapper à temps.
La poulie serait pas coulée, et le môme, là, il aurait eu le temps de réfléchir à sa carrière. Au lieu de ça sa maman reverra jamais sa gueule d’ange triste.
Oh et puis merde, hein. Fuck this.
Profite mon ptit Kan.
Combien t’en connais des caves qui s’sont fait un navire de la Grande Mouette avec un cure-dents ?
Profite. Et réflexionne.
Cheminées, donc vapeur. Vapeur, donc surchauffe.
Marine, donc prisonniers. Prisonniers, donc cales.
Prisonniers, donc truands. Truands, donc mains.
Mains, vapeur, surchauffe, prisonniers.
Des cales.
Fusils chargés sur cadavre et assimilés.
Deux en bandoulière, un dans la main, et l’quatrième... Plouf.
Et pan le p’tit embusqué là-bas derrière le coin. Si le jeunot a pu s’faire décéder, pourquoi pas toi. Wouf, ta balle m’a gratté l’oreille. ’reusement que t’auras plus l’occasion de r’charger.
Deux balles encore apprêtées. Une lame à portée de main.
Des talonnades derrière. Une cheville en vrac.
Les cales. Une porte, vers les ponts inférieurs.
Un fusil déchargé abandonné en blocage de gonds.
A nous, mes p’tits truands chéris.
C’quoi c’bateau, là ?
Pourquoi il a des cheminées ?
Pourquoi il est grand comme de là à là ?
Ptain ?
Ptain !
"Narnaaaaaaaaaaaaaak... je me meurs..."
Ptain !!
Quel enclumé de fils de péripatéticienne a osé touché à toi, ma poulie ?!
Un bleu, hein ? Un mouetteux, ouais. Un encombré du neurone qui t’a pris pour un vulgaire paquet d’algues et qui t’a foutue à la baille d’un coup de botte négligent. Un sous-fifre de ce colonel.
Grmh... Zen, respire.
Grmh...
... C’tait quoi ça ?! L’ombre. Là.
Ha, crénom ! C’qu’il m’a largué ses plumes dessus c’t’oisal tout blanc ! Ha, saloperie, lâche-moi, mais lâche-moi ! Gneuh ! ... Haha, tfais moins la maligne coupée en deux, la veste, hein !? Même rouillé il a finalement son utilité ce ptit sabre récupéré hier. Paix à ton âme gamin.
Bon, à nous deux maintenant. Chef.
"YSENNN !!"
"Jveux celui d’tes gars qui m’a buté ma poulie ici dans moins de deux minutes ! T’as compris ?!"
Il a pas compris. Les cyclopes d’acier braqués sur toi non plus z’ont pas compris, mon ptit Kan. Grmh. Ca va tirer... Ca va tir- La passerelle !
Yaaah, ma ch’ville bordel ! Encore un de tes coups de vicieux, hein chef ? Vive le réflexe de sauter quand tu sens le sol se faire la malle sous les panards, mh. Enfin maintenant j’ai l’air d’un con suspendu au bastingage par les coudes. Ne pas lâcher la lame. Ne pas lâch-
Hmf. Vla, on s’sent mieux sur un pont ferme.
... Sauf avec deux canons braqués sur chaque tempe.
"Yo ! On vous a pas prévenus, les ptit gars ?"
Prévenus de quoi ? pensent vos cerveaux. Jle vois dans les yeux marrons du ptit jeune, là. Jvais te le dire, fiston. Bouge pas. Bouge pas ou ça va faire mal. Prévenus que le Narnak est un carnassier.
"Prévenus que chuis là pour aider. Y a un malade qu’arrive de la ville."
Pas b’soin d’être convaincant. C’pas le but. Juste troubler leurs cortex le temps d’une seconde d’analyse qu’ils auraient pas dû perdre. Fallait tirer dès que vous avez vu ma gueule pleine de sang les mômes. Bam ! Désolé grand blond, tu vas pas pouvoir hausser les épaules avant un ptit moment. Pif, dans la trompe le rouquin. Bonjour à ton infirmière. Sbaarg, tiens, un peu de colle pour ta mâchoire le gros...
Merde.
Sgargl, c’est joli comme mot fiston. Mais t’aurais pas dû. T’aurais pas dû m’attraper par derrière. Me flinguer, fallait m’flinguer dans le dos. Maintenant t’as mon sabre dans la gorge et moi un meurtre de moujingue sur les bras. Merde. Réflexes de con.
"YSEEEEN !!"
C’est d’ta faute cette connerie. T’aurais percuté plus vite l’allusion sur la môme, on se s’rait caillassés en douceur. J’t’aurais accompagné ou précédé au bateau de la miss, t’aurais dit "j’la prends", j’t’aurais dit "non" en r’prenant cette satanée poulie, on se serait mis dessus tranquillous et l’un de nous deux aurait fini à la flotte pendant que la gamine se carapatait tranquille et tu la retrouvais pas. Jlui fais confiance pour savoir s’échapper à temps.
La poulie serait pas coulée, et le môme, là, il aurait eu le temps de réfléchir à sa carrière. Au lieu de ça sa maman reverra jamais sa gueule d’ange triste.
Oh et puis merde, hein. Fuck this.
Profite mon ptit Kan.
Combien t’en connais des caves qui s’sont fait un navire de la Grande Mouette avec un cure-dents ?
Profite. Et réflexionne.
Cheminées, donc vapeur. Vapeur, donc surchauffe.
Marine, donc prisonniers. Prisonniers, donc cales.
Prisonniers, donc truands. Truands, donc mains.
Mains, vapeur, surchauffe, prisonniers.
Des cales.
Fusils chargés sur cadavre et assimilés.
Deux en bandoulière, un dans la main, et l’quatrième... Plouf.
Et pan le p’tit embusqué là-bas derrière le coin. Si le jeunot a pu s’faire décéder, pourquoi pas toi. Wouf, ta balle m’a gratté l’oreille. ’reusement que t’auras plus l’occasion de r’charger.
Deux balles encore apprêtées. Une lame à portée de main.
Des talonnades derrière. Une cheville en vrac.
Les cales. Une porte, vers les ponts inférieurs.
Un fusil déchargé abandonné en blocage de gonds.
A nous, mes p’tits truands chéris.
Narnak- L'Acide
Leiah N. Mòr Maëlys- 'Lei
- Localisation RP : East Blue mais espère aller à Grand Line.
Rang/Grade : Simple Pirate.
Supérieur : Elle-même.
Re: Quand les ennuis se présentent... [ Narnak ]
Une poulie ? Quelle poulie ? Aaaah cette poulie !
L'information mit du temps à atteindre le cerveau du colonel, ou plutôt, ce dernier l'a classée dans la catégorie des détails secondaires. Mais dès qu'une fraction de son esprit fut disponible, l'image du "mannequin" à bord de la Petite Sirène y fit son apparition. Détail secondaire, peut-être, mais qui avait son importance.
Narnak disparu rapidement dans les entrailles du navire, tant mieux, Ysen allait avoir le temps de donner ses ordres. Il savait qu'il y avait deux objectifs possibles pour ce hors-la-loi (et s'il ne l'était pas, il n'allait pas tarder à le devenir): les prisonniers et la salle des machines, les deux moyens de faire le plus de dégâts le plus rapidement possible. Et vu la direction qu'il avait prise, il allait d'abords atteindre les geôles. Tant mieux, tout ce qu'il allait y trouver serait une poignée d'ex-retenus gisants dans leur sang et trois balles de fusil fusant vers lui, pas de chance.
Une petite quarantaine d'hommes se rassemblaient devant lui. Quelques un manquaient, certainement ceux qui avaient croisé le Kan sur leur chemin. L'officier chargé des communications s'avança directement vers lui alors que le reste se mettait en rang. Il lui tendit un denden mushi qui semblait un petit peu paniqué.
"C'est les hommes en poste auprès du bateau de la pirate, ils on entendu le grabuge ici et demandent ce qu'ils doivent faire."
Sans attendre, le colonel attrapa le micro et lâcha ses ordres. Il avait prévu d'envoyer un messager sur la barque pour les avertir mais s'ils avaient emporté un des escargophones portables (certainement celui qu'il n'avait pas pris lui même alors qu'il avait quitté le navire en fait) autant ne pas perdre de bras.
"Voici vos ordres: débarquez tous les objets précieux de la barque ainsi que toutes les poulies trainant sur le pont et ramenez les au White Mustang. Soyez parés au combat ! Ysen term... Attendez ! Avant de partir, décrochez les amarres de la barque et poussez la vers le large. Renvoyez au navire tout le personnel inutile à cette tâche directement au navire. Ysen terminé."
Licinius avait aperçut du coin de l'oeil la petite pirate partir à la suite du grand malade. Elle semblait être la propriétaire de la Petite Sirène, il se demandait comment elle allait réagir en voyant son embarcation flotter au large... Mais il n'avait pas plus de temps pour ses divagations, il fallait laisser la place à l'action.
"Vous tous, nous avons deux intrus dangereux à bord, n'essayez pas de les arrêter mais dirigez les vers le pont, soit en leur bloquant le passage soit en les appâtant. Ne les laissez pas atteindre la salle des machines. Machinistes: ne prenez pas part au combat, soyez prêts à faire face à une situation d'urgence. N'hésitez pas à prendre toutes les mesures nécessaires contre les dommages mais je vous le répète: NE PRENEZ PAS PART AU COMBAT, si les intrus vous trouvent dans la salle des machines, ils vont sans doutes vous tuer, restez cachés afin de pouvoir agir une fois que le danger est écarté! Allez y!"
Les hommes devant lui se séparèrent directement, quelques uns à la poursuite de Leiah et Narnak, la plupart partant se poster aux points stratégiques qui leur permettraient d'accomplir leurs ordres au mieux: ceux en première ligne allaient servir à savoir si les intrus cherchaient à combattre ou à fuir devant un grand nombre de marine, les autres allaient se placer en fonction de leur comportement. Ysen, lui, n'allait pas se fatiguer à poursuivre ces deux clandestins. Il allait calmement rester sur le pont pour les cueillir.
En attendant, il se dirigea vers un de ses cannons, il estimait que le "Kan" devait atteindre les prisonniers environ à ce moment. Il y resterait retenu un moment par les trois hommes qui s'y trouvaient. S'il avait réussi à se débarrasser de ses adversaires facilement jusque là il n'avait pas intérêt à croire que ça resterait aussi simple -d'ailleurs, dans les profondeur du navire, Narnak se faisait tirer dessus par deux marine alors que leur dernier comparse se chargeait du dernier prisonnier, les autres ayant déjà du plomb dans le coeur. Les marines ne couraient plus au hasard des couloirs sans s'attendre à trouver un quelconque danger au détours d'un couloir.
Pour passer le temps, Ysen s'approcha tranquillement du bord de son navire pour observer la situation près de la barque de la petite Leiah. Les marines qui y étaient encore présents avaient fini de la détacher et la tiraient le long du ponton avec des cordes. Des rochers - ceux-là même auprès desquels la jeune pirate était restée cachée - formaient un courant qui, si un navire sans personne pour le diriger sortait du port, attirait à lui tous les objets flottants. La puissance n'était certes pas assez grande pour détruire la barque, mais cela causerait tout de même des dommages, à condition qu'elle s'y jette sans partir loin de l'île. Licinius vit un canon à côté de lui. Il se souvint que cela faisait longtemps qu'il n'avait plus pratiqué le tir d'artillerie. Il avait été plutôt doué dans son jeune âge, et était maintenant curieux de voir ce qu'il valait. Il alla chercher un tonneau de poudre et chargea un boulet. Le temps que cette tâche soit accomplie, la barque flottait déjà loin du ponton. Il attrapa le silex posé près du canon et alluma la mèche. Une grande gerbe d'eau s'éleva à quelques mètres de sa cible. Pas trop mal, mais peut mieux faire.
Il alla chercher un second boulet...
L'information mit du temps à atteindre le cerveau du colonel, ou plutôt, ce dernier l'a classée dans la catégorie des détails secondaires. Mais dès qu'une fraction de son esprit fut disponible, l'image du "mannequin" à bord de la Petite Sirène y fit son apparition. Détail secondaire, peut-être, mais qui avait son importance.
Narnak disparu rapidement dans les entrailles du navire, tant mieux, Ysen allait avoir le temps de donner ses ordres. Il savait qu'il y avait deux objectifs possibles pour ce hors-la-loi (et s'il ne l'était pas, il n'allait pas tarder à le devenir): les prisonniers et la salle des machines, les deux moyens de faire le plus de dégâts le plus rapidement possible. Et vu la direction qu'il avait prise, il allait d'abords atteindre les geôles. Tant mieux, tout ce qu'il allait y trouver serait une poignée d'ex-retenus gisants dans leur sang et trois balles de fusil fusant vers lui, pas de chance.
Une petite quarantaine d'hommes se rassemblaient devant lui. Quelques un manquaient, certainement ceux qui avaient croisé le Kan sur leur chemin. L'officier chargé des communications s'avança directement vers lui alors que le reste se mettait en rang. Il lui tendit un denden mushi qui semblait un petit peu paniqué.
"C'est les hommes en poste auprès du bateau de la pirate, ils on entendu le grabuge ici et demandent ce qu'ils doivent faire."
Sans attendre, le colonel attrapa le micro et lâcha ses ordres. Il avait prévu d'envoyer un messager sur la barque pour les avertir mais s'ils avaient emporté un des escargophones portables (certainement celui qu'il n'avait pas pris lui même alors qu'il avait quitté le navire en fait) autant ne pas perdre de bras.
"Voici vos ordres: débarquez tous les objets précieux de la barque ainsi que toutes les poulies trainant sur le pont et ramenez les au White Mustang. Soyez parés au combat ! Ysen term... Attendez ! Avant de partir, décrochez les amarres de la barque et poussez la vers le large. Renvoyez au navire tout le personnel inutile à cette tâche directement au navire. Ysen terminé."
Licinius avait aperçut du coin de l'oeil la petite pirate partir à la suite du grand malade. Elle semblait être la propriétaire de la Petite Sirène, il se demandait comment elle allait réagir en voyant son embarcation flotter au large... Mais il n'avait pas plus de temps pour ses divagations, il fallait laisser la place à l'action.
"Vous tous, nous avons deux intrus dangereux à bord, n'essayez pas de les arrêter mais dirigez les vers le pont, soit en leur bloquant le passage soit en les appâtant. Ne les laissez pas atteindre la salle des machines. Machinistes: ne prenez pas part au combat, soyez prêts à faire face à une situation d'urgence. N'hésitez pas à prendre toutes les mesures nécessaires contre les dommages mais je vous le répète: NE PRENEZ PAS PART AU COMBAT, si les intrus vous trouvent dans la salle des machines, ils vont sans doutes vous tuer, restez cachés afin de pouvoir agir une fois que le danger est écarté! Allez y!"
Les hommes devant lui se séparèrent directement, quelques uns à la poursuite de Leiah et Narnak, la plupart partant se poster aux points stratégiques qui leur permettraient d'accomplir leurs ordres au mieux: ceux en première ligne allaient servir à savoir si les intrus cherchaient à combattre ou à fuir devant un grand nombre de marine, les autres allaient se placer en fonction de leur comportement. Ysen, lui, n'allait pas se fatiguer à poursuivre ces deux clandestins. Il allait calmement rester sur le pont pour les cueillir.
En attendant, il se dirigea vers un de ses cannons, il estimait que le "Kan" devait atteindre les prisonniers environ à ce moment. Il y resterait retenu un moment par les trois hommes qui s'y trouvaient. S'il avait réussi à se débarrasser de ses adversaires facilement jusque là il n'avait pas intérêt à croire que ça resterait aussi simple -d'ailleurs, dans les profondeur du navire, Narnak se faisait tirer dessus par deux marine alors que leur dernier comparse se chargeait du dernier prisonnier, les autres ayant déjà du plomb dans le coeur. Les marines ne couraient plus au hasard des couloirs sans s'attendre à trouver un quelconque danger au détours d'un couloir.
Pour passer le temps, Ysen s'approcha tranquillement du bord de son navire pour observer la situation près de la barque de la petite Leiah. Les marines qui y étaient encore présents avaient fini de la détacher et la tiraient le long du ponton avec des cordes. Des rochers - ceux-là même auprès desquels la jeune pirate était restée cachée - formaient un courant qui, si un navire sans personne pour le diriger sortait du port, attirait à lui tous les objets flottants. La puissance n'était certes pas assez grande pour détruire la barque, mais cela causerait tout de même des dommages, à condition qu'elle s'y jette sans partir loin de l'île. Licinius vit un canon à côté de lui. Il se souvint que cela faisait longtemps qu'il n'avait plus pratiqué le tir d'artillerie. Il avait été plutôt doué dans son jeune âge, et était maintenant curieux de voir ce qu'il valait. Il alla chercher un tonneau de poudre et chargea un boulet. Le temps que cette tâche soit accomplie, la barque flottait déjà loin du ponton. Il attrapa le silex posé près du canon et alluma la mèche. Une grande gerbe d'eau s'éleva à quelques mètres de sa cible. Pas trop mal, mais peut mieux faire.
Il alla chercher un second boulet...
Licinius Ysen- Shirookami
- Localisation RP : South Blue
Rang/Grade : Colonel
Supérieur : Amiral Tsuru
Feuille de personnage
Points de vie:
(600/600)
Re: Quand les ennuis se présentent... [ Narnak ]
Chblaf.
Chblaf ? Quel est l'empaffé qui vient d'essayer de m’rentrer dans le lard ?
Sbafffff !
Ah c’était toi gamine ? Oups.
"Mh."
Jolie la marque de canon sur ta joue droite. Jolie la marque de ma main sur ta joue gauche. Ca t’donne une ptite rougeur au teint qui brille dans le noir. Elle ferait s’damner un prêtre, jsuis sûr, ta peau de pêche presque mûre... Nan, aie pas peur, j’ai d’autres projets en tête que d’te violer sur place. Pis c’est pas trop le moment, les crosses vont pas tarder à percer la lourde. Mais fallait pas t’faufiler comme ça juste avant qu’jferme la porte, c’tout. C’pas comme si on y voyait super bien non plus dans c’couloir pourri. D’ailleurs... Hein ? C’que jvais faire ? Tu l’sauras bien assez tôt, hinhin.
Bon, allez, on s’gratte l’entre-canines et on y va, okay ?
... Où ça ? Ben y a qu’une voie pour l’instant. Tout droit, donc.
Et au pas de course, compris ?
Vroum, vroum.
Couloir virage couloir virage couloir vir-
Hiiiiiiiiii, freins qui fument, talons qui glissent, cheville qui morfle.
Chuchotement.
"Tu connais l’histoire de Crac la Mâchoire, fillette ?"
Reste là dans le coin, mignonne. Et écoute bien. C’t’un marin qui s’croyait malin à s’planquer derrière une porte de cabine mais qui voyait pas que ses pieds dépassaient par dessous le panneau de métal. Alors l’intrus s’approche à pas de loup, s’approche et s’approche encore, et... Crac la Mâchoire ! Fermée la porte, avec le ptit soldat coincé dedans. Tu sais tirer au fusil ma jolie ? Non ? Bon, dommage, jle prends en troisième en bandoulière alors. Oh et puis tiens, on va troquer les sabres puisqu’on a... euh, le temps ou presque. Ca vient de craquer derrière, t’as ouï ?
"Tu cours vite ?"
Bon bah jte propose qu’on fonce alors.
N’empêche, c’t’une belle lame bien astiquée, ça. Hein ? Non, tu trouves pas ? Ah, c’est le duo qui nous tient en joue là-bas qui te stresse ? Ouais, jcomprends, planque-t-
PAN ! x2
Ahan.
Peau d’acier n’a pas marché. Salope.
"Wahaa, putaaainn !"
Putaaiinnnn. Ouais ouais, recharge, va. Rechargez tous les deux. On parie que jcours plus vite que vous même avec une cheville en vrac ? ON PARIE ?!
Yahaa ! DOUBLEBAFFEDANSTESGUEULES !
Perdu les gars. Ca fait mal de sfaire dévisser la tête à coup de crosse, hein ? Hein ?! Ouais bah fallait pas m’toucher avec vos plombs. Reposez en paix. In nomine patris et fillii blabla.
Merde, j’ai tordu le canon d’c’te pétoire avec tout ça.
Han. Un, d-... Non, un seul trou. Ouf.
"Fillette, ça t’dirait pas de m’faire un garrot rapide, là ?"
Ouais, le bras gauche. Le trou dans le cuir. Compressionne. Tiens, prends la cravate, c’la tienne après tout. Et grouille, ça arrive derrière et j’ai que deux balles disponibles. Et accessoirement faut qu’jme démerde pour arriver à viser en tenant un truc long de quatre pieds à bout de bras, jgarantis pas la précision.
Grouille bordel. Qu’on puisse descendre cet escalier, arriver au deuxième pont, et trouver les cales.
Snurf snurf.
Tu sens pas comme une odeur de pourri qui commence à monter ? C’est là-bas qu’on va jcrois. La lie de l’humanité.
BAOUM
Hein ?
Baoum ?
Qu’est-ce qu- ?
Quel est le malade qui joue au canon ?
Est-ce que c’est le moment de jouer du canon ?
Putain !? Sérieux les mecs. Est-ce que c’est le moment bordel ?!
Escalier couloir.
Canon, ça veut dire bateau. Couloir. Même un taré s’amuserait pas à tirer dans l’eau pour le plaisir maintenant. Virage. Couloir. Dépêche fillette. Bateau, ça veut dire...
Ah, une porte. Bam. Plus de porte.
Bordel. Le pourri, c’était pas juste les prisonniers.
Combien ils sont ? Dix, vingt, trente ?
Trente putains de cadavres.
Et deux encore vivants. Un à genoux, l’autre en joue.
Surprise fumier.
CHTOUM. Voilà, allonge-toi doucement, là. Tu l’entends ce silence ? C’est ton cœur qui s’arrête. Ca fait mal, un gros sabre dedans, hein ? Imagine une petite balle toute ronde qui se faufile là où il faut pas comme une vicieuse. Allez, un dernier soupir et s’en va. Dis bonjour à la famille McAB. Et rends-moi ma lame.
... Et un truand sauvé. Tu parles d'un ratio de merde.
"Salut mon gars. C’ton jour de chance on dirait."
"Derrière toi Kan !! Gaffffffe !!"
"Hein ?"
Ces f.
Non. Pas possible. Quoique, il a pas l’air très clair de peau le bougre sous sa crasse. Et cette taille de foulard sur les chev-...
"...Bob !?"
"Derrière toi !!"
"Hein ?"
Quoi ça ?
Derri-
Merde !
PAN
Chblaf ? Quel est l'empaffé qui vient d'essayer de m’rentrer dans le lard ?
Sbafffff !
Ah c’était toi gamine ? Oups.
"Mh."
Jolie la marque de canon sur ta joue droite. Jolie la marque de ma main sur ta joue gauche. Ca t’donne une ptite rougeur au teint qui brille dans le noir. Elle ferait s’damner un prêtre, jsuis sûr, ta peau de pêche presque mûre... Nan, aie pas peur, j’ai d’autres projets en tête que d’te violer sur place. Pis c’est pas trop le moment, les crosses vont pas tarder à percer la lourde. Mais fallait pas t’faufiler comme ça juste avant qu’jferme la porte, c’tout. C’pas comme si on y voyait super bien non plus dans c’couloir pourri. D’ailleurs... Hein ? C’que jvais faire ? Tu l’sauras bien assez tôt, hinhin.
Bon, allez, on s’gratte l’entre-canines et on y va, okay ?
... Où ça ? Ben y a qu’une voie pour l’instant. Tout droit, donc.
Et au pas de course, compris ?
Vroum, vroum.
Couloir virage couloir virage couloir vir-
Hiiiiiiiiii, freins qui fument, talons qui glissent, cheville qui morfle.
Chuchotement.
"Tu connais l’histoire de Crac la Mâchoire, fillette ?"
Reste là dans le coin, mignonne. Et écoute bien. C’t’un marin qui s’croyait malin à s’planquer derrière une porte de cabine mais qui voyait pas que ses pieds dépassaient par dessous le panneau de métal. Alors l’intrus s’approche à pas de loup, s’approche et s’approche encore, et... Crac la Mâchoire ! Fermée la porte, avec le ptit soldat coincé dedans. Tu sais tirer au fusil ma jolie ? Non ? Bon, dommage, jle prends en troisième en bandoulière alors. Oh et puis tiens, on va troquer les sabres puisqu’on a... euh, le temps ou presque. Ca vient de craquer derrière, t’as ouï ?
"Tu cours vite ?"
Bon bah jte propose qu’on fonce alors.
N’empêche, c’t’une belle lame bien astiquée, ça. Hein ? Non, tu trouves pas ? Ah, c’est le duo qui nous tient en joue là-bas qui te stresse ? Ouais, jcomprends, planque-t-
PAN ! x2
Ahan.
Peau d’acier n’a pas marché. Salope.
"Wahaa, putaaainn !"
Putaaiinnnn. Ouais ouais, recharge, va. Rechargez tous les deux. On parie que jcours plus vite que vous même avec une cheville en vrac ? ON PARIE ?!
Yahaa ! DOUBLEBAFFEDANSTESGUEULES !
Perdu les gars. Ca fait mal de sfaire dévisser la tête à coup de crosse, hein ? Hein ?! Ouais bah fallait pas m’toucher avec vos plombs. Reposez en paix. In nomine patris et fillii blabla.
Merde, j’ai tordu le canon d’c’te pétoire avec tout ça.
Han. Un, d-... Non, un seul trou. Ouf.
"Fillette, ça t’dirait pas de m’faire un garrot rapide, là ?"
Ouais, le bras gauche. Le trou dans le cuir. Compressionne. Tiens, prends la cravate, c’la tienne après tout. Et grouille, ça arrive derrière et j’ai que deux balles disponibles. Et accessoirement faut qu’jme démerde pour arriver à viser en tenant un truc long de quatre pieds à bout de bras, jgarantis pas la précision.
Grouille bordel. Qu’on puisse descendre cet escalier, arriver au deuxième pont, et trouver les cales.
Snurf snurf.
Tu sens pas comme une odeur de pourri qui commence à monter ? C’est là-bas qu’on va jcrois. La lie de l’humanité.
BAOUM
Hein ?
Baoum ?
Qu’est-ce qu- ?
Quel est le malade qui joue au canon ?
Est-ce que c’est le moment de jouer du canon ?
Putain !? Sérieux les mecs. Est-ce que c’est le moment bordel ?!
Escalier couloir.
Canon, ça veut dire bateau. Couloir. Même un taré s’amuserait pas à tirer dans l’eau pour le plaisir maintenant. Virage. Couloir. Dépêche fillette. Bateau, ça veut dire...
Ah, une porte. Bam. Plus de porte.
Bordel. Le pourri, c’était pas juste les prisonniers.
Combien ils sont ? Dix, vingt, trente ?
Trente putains de cadavres.
Et deux encore vivants. Un à genoux, l’autre en joue.
Surprise fumier.
CHTOUM. Voilà, allonge-toi doucement, là. Tu l’entends ce silence ? C’est ton cœur qui s’arrête. Ca fait mal, un gros sabre dedans, hein ? Imagine une petite balle toute ronde qui se faufile là où il faut pas comme une vicieuse. Allez, un dernier soupir et s’en va. Dis bonjour à la famille McAB. Et rends-moi ma lame.
... Et un truand sauvé. Tu parles d'un ratio de merde.
"Salut mon gars. C’ton jour de chance on dirait."
"Derrière toi Kan !! Gaffffffe !!"
"Hein ?"
Ces f.
Non. Pas possible. Quoique, il a pas l’air très clair de peau le bougre sous sa crasse. Et cette taille de foulard sur les chev-...
"...Bob !?"
"Derrière toi !!"
"Hein ?"
Quoi ça ?
Derri-
Merde !
PAN
Narnak- L'Acide
Leiah N. Mòr Maëlys- 'Lei
- Localisation RP : East Blue mais espère aller à Grand Line.
Rang/Grade : Simple Pirate.
Supérieur : Elle-même.
Re: Quand les ennuis se présentent... [ Narnak ]
Ysen venait d'être rejoint par les hommes qui avaient détaché le bateau de la petite quand cette dernière arriva sur le pont en criant. La petite dizaine d'hommes, qui avaient du se débrouiller pour grimper le long des amarres pour embarquer en raison du manque de passerelle, regardèrent Leiah, puis le colonel avec son canon, puis Leiah à nouveau, puis le colonel qui regardait Leiah en souriant. Ils savaient qu'Ysen n'allait pas tolérer la présence de cette petite très longtemps. Elle avait commis deux grosses erreurs qui ne devaient pas l'être sur le White Mustang, la première était de jurer, la seconde d'être une femme. Nul ne savait ce qui était arrivé au dernier marine à avoir fait monter son amante à bord, et c'était bien ça qui était inquiétant.
Ysen se releva et laissa tomber le silex par terre. Le canon était prêt à faire feu, mais maintenant qu'il avait attiré l'attention de cette jeune fille il n'en avait plus besoin. Toujours fendu d'un grand sourire, il s'adressa à l'intruse avec une voix moqueuse:
"Vous voilà ! J'aurais bien voulu vous prévenir, mais malheureusement vous sembliez occupée à explorer les recoins de mon navire."
Les marines présents ne bougèrent pas pour retenir la pirate. L'un d'entre eux se souvint des conseils que lui avaient donné ses parents lorsqu'il quitta le foyer famillial. Le premier était de toujours se méfier des petits vieux chauves qui souraient. Ysen n'était ni petit, ni chauve, ni même très vieux, mais il souriait, et cela suffisait à ses yeux. Si la petite voulait se jeter entre ses crocs, elle en était parfaitement libre.
Le fouet claquant, la lame étincelante, Ysen est chargé, mais on va pas se laisser faire comme ça ou bien ? Elle a plus d'alonge grâce à son fouet, mais c'est un détail ça. Par contre, elle se précipite, comme tout le monde la première fois. On va donc aller plus vite qu'elle. Et surtout mieux viser. Ventre à terre, on fonce, et quand on voit le long filin de cuir qui va s'abbatre sur nous, on s'y dérobe. Comment ? En glissant bien sur ! On va jeter les pieds en avant afin d'accélérer encore un peu et éviter le fouet. Pour ce qui est de la suite, on se laisse glisser jusqu'à l'adversaire qui ne semble pas se soucier des freins, et on donne un grand coup de pied dans l'estomac. Résultat: arrêt net, souffle coupé, et peut être un gros bleu au bide.
Licinius se releva lentement. Il fit signe aux quelques hommes qui l'entourent d'aller rejoindre leurs comparses avant de se retourner vers la petite Leiah. Il s'approcha et écrasa sa main qui tenait la dague jusqu'à se qu'elle lâcha. Il se baissa ensuite pour qu'il puisse regarder droit dans ses yeux. Il souriait toujours mais sa voix était dès à présent dénuée de toute moquerie.
"Deux choses, petite pie. Quand on monte sur le navire des autres pour les saccager, faut s'attendre à qu'ils fassent de même. Et pour ce qui est de ta petite barquette de pacotille, à ta place je m'inquiéterais plus pour la direction qu'elle prend que pour son entretient. J'ai vu qu'elle partait vers les rochers, j'ai donc tiré pour dévier sa route. Tu ferais mieux de te dépêcher si t'espère la revoir un jour."
En effet, le cap du petit bateau partait clairement vers le large à présent. Il s'était considérablement éloigné, mais pouvait encore être rattrapé à la nage. Ysen se releva et s'éloigna de quelques pas. Il était prêt à se défendre en cas d'attaque, mais n'allait visiblement pas passer à l'offensive. Il ressentait un profond dégoût pour la jeune pirate, et la dernière chose qu'il souhaitait était que son sang s'infiltre dans son bateau.
Ysen se releva et laissa tomber le silex par terre. Le canon était prêt à faire feu, mais maintenant qu'il avait attiré l'attention de cette jeune fille il n'en avait plus besoin. Toujours fendu d'un grand sourire, il s'adressa à l'intruse avec une voix moqueuse:
"Vous voilà ! J'aurais bien voulu vous prévenir, mais malheureusement vous sembliez occupée à explorer les recoins de mon navire."
Les marines présents ne bougèrent pas pour retenir la pirate. L'un d'entre eux se souvint des conseils que lui avaient donné ses parents lorsqu'il quitta le foyer famillial. Le premier était de toujours se méfier des petits vieux chauves qui souraient. Ysen n'était ni petit, ni chauve, ni même très vieux, mais il souriait, et cela suffisait à ses yeux. Si la petite voulait se jeter entre ses crocs, elle en était parfaitement libre.
Le fouet claquant, la lame étincelante, Ysen est chargé, mais on va pas se laisser faire comme ça ou bien ? Elle a plus d'alonge grâce à son fouet, mais c'est un détail ça. Par contre, elle se précipite, comme tout le monde la première fois. On va donc aller plus vite qu'elle. Et surtout mieux viser. Ventre à terre, on fonce, et quand on voit le long filin de cuir qui va s'abbatre sur nous, on s'y dérobe. Comment ? En glissant bien sur ! On va jeter les pieds en avant afin d'accélérer encore un peu et éviter le fouet. Pour ce qui est de la suite, on se laisse glisser jusqu'à l'adversaire qui ne semble pas se soucier des freins, et on donne un grand coup de pied dans l'estomac. Résultat: arrêt net, souffle coupé, et peut être un gros bleu au bide.
Licinius se releva lentement. Il fit signe aux quelques hommes qui l'entourent d'aller rejoindre leurs comparses avant de se retourner vers la petite Leiah. Il s'approcha et écrasa sa main qui tenait la dague jusqu'à se qu'elle lâcha. Il se baissa ensuite pour qu'il puisse regarder droit dans ses yeux. Il souriait toujours mais sa voix était dès à présent dénuée de toute moquerie.
"Deux choses, petite pie. Quand on monte sur le navire des autres pour les saccager, faut s'attendre à qu'ils fassent de même. Et pour ce qui est de ta petite barquette de pacotille, à ta place je m'inquiéterais plus pour la direction qu'elle prend que pour son entretient. J'ai vu qu'elle partait vers les rochers, j'ai donc tiré pour dévier sa route. Tu ferais mieux de te dépêcher si t'espère la revoir un jour."
En effet, le cap du petit bateau partait clairement vers le large à présent. Il s'était considérablement éloigné, mais pouvait encore être rattrapé à la nage. Ysen se releva et s'éloigna de quelques pas. Il était prêt à se défendre en cas d'attaque, mais n'allait visiblement pas passer à l'offensive. Il ressentait un profond dégoût pour la jeune pirate, et la dernière chose qu'il souhaitait était que son sang s'infiltre dans son bateau.
Licinius Ysen- Shirookami
- Localisation RP : South Blue
Rang/Grade : Colonel
Supérieur : Amiral Tsuru
Feuille de personnage
Points de vie:
(600/600)
Re: Quand les ennuis se présentent... [ Narnak ]
Cling, bruit de plomb contre la coque.
Merci fillette. Tpeux arrêter dserrer maintenant. Quand il est tout bleu comme ça, avec la langue noire qui sort de derrière ses dents jaunes, c’est qu’il est cuit. N’empêche, c’t’un joli schtroumpf que tu nous as créé-là.
Hein Bob que c’est un beau schtroumpf ?
"B’soin d’aide avec tes f-f-fers, l’Affro ?"
Haha, pas la peine de m’attaquer, vieille canaille, tu sais bien qu’c’est pas méchant. Jamais compris pourquoi tu prenais la mouche à chaque fois qu’on faisait ça. M’fais pas croire que ça t’atteint dans ta sensiblerie, hein. Oublie pas que t’es plus grand que moi d’un pied et plus lourd d’au moins deux dizaines de livres. Boarf. Allez, tiens, clic clic clic clac, tombées les mâchoires de fer rouillé. Salut ma couille, tu vas bien, tap tap. Woho, doucement avec ta bise, là. Ttt. Et puis c’est pas que tu sens le phoque mais un requin oserait pas t’miamer, là. Alors on garde nos distances, roger ?
Alors, qu’est-ce tu fous là ? Qu’est-ce t’as glandé tout ce temps ?
Pirate hein ? Ouais, j’m’en serais douté vu ta classe vestimentaire du moment. Et dire que quand j’t’avais quitté t’avais enfin consenti à t’acheter un costard. C’tait fun la piraterie ? Nan packe figure-toi qu-
Hein fillette ? Remonter ? Les machines ?
Ah merde, le canon. Juste. Le colonel chafouin d’en haut. Ton bateau qui défile là-bas. Le reste de Marins qu’étaient dessus qui doit s’être rameuté maintenant.
"D’acc-
Ah ben elle s’est déjà barrée. Bravo. L’est niqué ton bateau ptite fille, faut t’faire une raison.
… Nan j’y suis pour rien, moi. Et pourquoi tu m’r’gardes comme ça mon ptit Bobby ?
"C’ta môme ?"
Hein ? Elle, ma... Nan mais ça va pas bien sous ton scalp exubérant tout frisé, mon frère ?
"Paraît que je l’ai sauvée hier."
"Tu fais dans la bienfaisance maintenant ?"
Ben, toujours quand y a une demoiselle en danger, hein.
"Bon, dis, euh... tu f’ras ton intéressé plus tard l’Affro. C’pas le moment."
M’est avis qu’va y avoir un petit grabuge là-haut si on la laisse toute seule, la donzelle. T’as pas envie de jouer avec la soldatesque ? Venger la dizaine de potos que tu dois avoir perdue dans le carnage dont j’t’ai rescapé, hm ? C’est pas un transitif, rescaper ? depuis quand tu t’y connais en syntaxe, toi ? Si jveux c’est un transitif. Pis il paraît que par delà les océans y a un peuple étrange de bûcherons qui l’utilise comme ça. Dans le grand nord de North Blue, ouais. Alors chut. T’as compris ? Non ? Jpensais bien.
Bref.
Tu prends l’pont, j’m’occupe des machines ? Finalement jvais ptetre pas l’couler, ça demande un peu de subtilité qu’ça m’étonnerait que tu srais capable de la démontrer.
"Aye, aye."
Yippee, comme au bon vieux temps, séquence émotions. Passage en noir et blanc pour l’occasion.
Tiens, prends les trois fusils et c’ui du sabré, ça fait quatre. Pis si tu fais un tour à l’entre-pont, tu devrais trouver de la poudre en suffisance pour faire une petite blague rigolote à ceux d’au-dessus, tu crois pas ? Avec les canons et tout et tout. Enfin jdis ça... jsais que tu t’amuseras comme un petit fou. Perso jverrais bien un ou deux boulets tirés à travers le pont supérieur direction la mer. Ca f’rait une jolie déco sans couler le navire. Mais jdis ça, tu fais c’que tu veux, hein. C’toi le chef.
Bon, allez, jme tire. L’est temps de faire démarrer cette bécane. Jte pique la réserve de poudre du Lieutenant tout bleu, là, et zoum.
See ya in hell, nigga.
Hip hop. Couloir couloir. Virage porte. Couloir. Putain ils sont vraiment tous pas là ces glands. Porte.
Fermée. How how how. Toc toc.
Héhé. Ouvrez les gars. Non ? Vous voulez pas m’ouvrir ? Ben pourquoi ? Vous m’aimez pas ? Barh. Okay, jvous force pas... Mais si j’tais vous, je reculerais. M’enfin si j’tais vous, je saurais que jsuis en train d’arroser tout le tour de la porte avec de la poudre et qu’ça va faire boum. Mais z’êtes pas moi, hein.
Baoum.
Oups, ça a dû trembler un peu jusque là haut, j’ai ptetre un peu forcé sur la dose.
Oh un grand brûlé. Toi t’es resté derrière la porte alors qu’il fallait pas, hm ? Bah voilà, j’avais prévenu. Bonjour à tes arrières grands-parents quand tu les croises au pays de tes ancêtres.
Bon, cinq moins un restent quatre.
Holà, qu’est-ce tu fais, toi ? Tu veux vraiment ? Nan mais range ton sabre. Nan mais range ton sabre jte dis !
Hum. Bon, donc jdisais : quatre moins un restent trois et un cadavre coupé en deux dans la longueur.
Y a d’autres amateurs ? Jvoulais buter personne mais si vous volontarisez, ça peut s’arranger.
Toi ? Okay, viens là mon kiki.
*censuré*
Bon, y en a un de vous deux restants qui veut des tripes ? Non parce que moi jles mange pas.
Non ? C’est bon ? Bon, par ici les lames, donc. C’est bien, bons garçons.
Toi, le ptit rouquin, jte nomme Général en chef des machines. Démarre-moi ce bordel et plus vite que ç-
TRIPLEBAOUM
Tiens, le Bobby a trouvé à s’amuser on dirait. Rien de tel qu’une bonne salve de canons sur une ville peuplée de civils pour leur annoncer le départ du bateau de la Marine qui gênait dans le port. En espérant que t’aies trouvé de la chair à mettre devant les gueules noires avant de tirer, hinhin. Et oublie pas : la mignonne est sur le pont qui doit attendre un sauveur avec le barouf que tu viens de causer.
"Euh. Sauf ton respect, est-ce que jt’ai dit de stopper la manœuvre, Général ?"
Tu veux que jpropose tes tripes à ton second ? Non. Bon alors démarre et...
"Euh... O-Oui Monsieur."
"Bon, et si tu te tires, ou si juste t'arrêtes de nourrir le monstre même si ton Colonel te le demande, si jsens qu'y a plus dvapeur dans le tuyau ne serait-ce qu'un instant, jredescends et jte découpe en rondelles. Tu me crois quand jte dis ça garçon ?"
Oui, regarde ton copain découpé en deux. Là. Comme lui mais en plus petits morceaux qu'tu finis si jsuis pas content. Capisce ?
"O-Oui Monsieur."
Bon. Maintenant le volant. Couloir couloir. Escalier. Contournage de pont principal. Hop petite échelle. Hop petit rétablissement. Oups, la cheville. Et on sifflote, et on sifflote gaiement.
Tiens, personne ? Oh, Colonel, enfin. Quelle imprévoyance.
Et on tourne la roue, et on tourne la roue. Youpaïe le bras gauche.
Direction plein large toute, matelots !
Merci fillette. Tpeux arrêter dserrer maintenant. Quand il est tout bleu comme ça, avec la langue noire qui sort de derrière ses dents jaunes, c’est qu’il est cuit. N’empêche, c’t’un joli schtroumpf que tu nous as créé-là.
Hein Bob que c’est un beau schtroumpf ?
"B’soin d’aide avec tes f-f-fers, l’Affro ?"
Haha, pas la peine de m’attaquer, vieille canaille, tu sais bien qu’c’est pas méchant. Jamais compris pourquoi tu prenais la mouche à chaque fois qu’on faisait ça. M’fais pas croire que ça t’atteint dans ta sensiblerie, hein. Oublie pas que t’es plus grand que moi d’un pied et plus lourd d’au moins deux dizaines de livres. Boarf. Allez, tiens, clic clic clic clac, tombées les mâchoires de fer rouillé. Salut ma couille, tu vas bien, tap tap. Woho, doucement avec ta bise, là. Ttt. Et puis c’est pas que tu sens le phoque mais un requin oserait pas t’miamer, là. Alors on garde nos distances, roger ?
Alors, qu’est-ce tu fous là ? Qu’est-ce t’as glandé tout ce temps ?
Pirate hein ? Ouais, j’m’en serais douté vu ta classe vestimentaire du moment. Et dire que quand j’t’avais quitté t’avais enfin consenti à t’acheter un costard. C’tait fun la piraterie ? Nan packe figure-toi qu-
Hein fillette ? Remonter ? Les machines ?
Ah merde, le canon. Juste. Le colonel chafouin d’en haut. Ton bateau qui défile là-bas. Le reste de Marins qu’étaient dessus qui doit s’être rameuté maintenant.
"D’acc-
Ah ben elle s’est déjà barrée. Bravo. L’est niqué ton bateau ptite fille, faut t’faire une raison.
… Nan j’y suis pour rien, moi. Et pourquoi tu m’r’gardes comme ça mon ptit Bobby ?
"C’ta môme ?"
Hein ? Elle, ma... Nan mais ça va pas bien sous ton scalp exubérant tout frisé, mon frère ?
"Paraît que je l’ai sauvée hier."
"Tu fais dans la bienfaisance maintenant ?"
Ben, toujours quand y a une demoiselle en danger, hein.
"Bon, dis, euh... tu f’ras ton intéressé plus tard l’Affro. C’pas le moment."
M’est avis qu’va y avoir un petit grabuge là-haut si on la laisse toute seule, la donzelle. T’as pas envie de jouer avec la soldatesque ? Venger la dizaine de potos que tu dois avoir perdue dans le carnage dont j’t’ai rescapé, hm ? C’est pas un transitif, rescaper ? depuis quand tu t’y connais en syntaxe, toi ? Si jveux c’est un transitif. Pis il paraît que par delà les océans y a un peuple étrange de bûcherons qui l’utilise comme ça. Dans le grand nord de North Blue, ouais. Alors chut. T’as compris ? Non ? Jpensais bien.
Bref.
Tu prends l’pont, j’m’occupe des machines ? Finalement jvais ptetre pas l’couler, ça demande un peu de subtilité qu’ça m’étonnerait que tu srais capable de la démontrer.
"Aye, aye."
Yippee, comme au bon vieux temps, séquence émotions. Passage en noir et blanc pour l’occasion.
Tiens, prends les trois fusils et c’ui du sabré, ça fait quatre. Pis si tu fais un tour à l’entre-pont, tu devrais trouver de la poudre en suffisance pour faire une petite blague rigolote à ceux d’au-dessus, tu crois pas ? Avec les canons et tout et tout. Enfin jdis ça... jsais que tu t’amuseras comme un petit fou. Perso jverrais bien un ou deux boulets tirés à travers le pont supérieur direction la mer. Ca f’rait une jolie déco sans couler le navire. Mais jdis ça, tu fais c’que tu veux, hein. C’toi le chef.
Bon, allez, jme tire. L’est temps de faire démarrer cette bécane. Jte pique la réserve de poudre du Lieutenant tout bleu, là, et zoum.
See ya in hell, nigga.
Hip hop. Couloir couloir. Virage porte. Couloir. Putain ils sont vraiment tous pas là ces glands. Porte.
Fermée. How how how. Toc toc.
Héhé. Ouvrez les gars. Non ? Vous voulez pas m’ouvrir ? Ben pourquoi ? Vous m’aimez pas ? Barh. Okay, jvous force pas... Mais si j’tais vous, je reculerais. M’enfin si j’tais vous, je saurais que jsuis en train d’arroser tout le tour de la porte avec de la poudre et qu’ça va faire boum. Mais z’êtes pas moi, hein.
Baoum.
Oups, ça a dû trembler un peu jusque là haut, j’ai ptetre un peu forcé sur la dose.
Oh un grand brûlé. Toi t’es resté derrière la porte alors qu’il fallait pas, hm ? Bah voilà, j’avais prévenu. Bonjour à tes arrières grands-parents quand tu les croises au pays de tes ancêtres.
Bon, cinq moins un restent quatre.
Holà, qu’est-ce tu fais, toi ? Tu veux vraiment ? Nan mais range ton sabre. Nan mais range ton sabre jte dis !
Hum. Bon, donc jdisais : quatre moins un restent trois et un cadavre coupé en deux dans la longueur.
Y a d’autres amateurs ? Jvoulais buter personne mais si vous volontarisez, ça peut s’arranger.
Toi ? Okay, viens là mon kiki.
*censuré*
Bon, y en a un de vous deux restants qui veut des tripes ? Non parce que moi jles mange pas.
Non ? C’est bon ? Bon, par ici les lames, donc. C’est bien, bons garçons.
Toi, le ptit rouquin, jte nomme Général en chef des machines. Démarre-moi ce bordel et plus vite que ç-
TRIPLEBAOUM
Tiens, le Bobby a trouvé à s’amuser on dirait. Rien de tel qu’une bonne salve de canons sur une ville peuplée de civils pour leur annoncer le départ du bateau de la Marine qui gênait dans le port. En espérant que t’aies trouvé de la chair à mettre devant les gueules noires avant de tirer, hinhin. Et oublie pas : la mignonne est sur le pont qui doit attendre un sauveur avec le barouf que tu viens de causer.
"Euh. Sauf ton respect, est-ce que jt’ai dit de stopper la manœuvre, Général ?"
Tu veux que jpropose tes tripes à ton second ? Non. Bon alors démarre et...
"Euh... O-Oui Monsieur."
"Bon, et si tu te tires, ou si juste t'arrêtes de nourrir le monstre même si ton Colonel te le demande, si jsens qu'y a plus dvapeur dans le tuyau ne serait-ce qu'un instant, jredescends et jte découpe en rondelles. Tu me crois quand jte dis ça garçon ?"
Oui, regarde ton copain découpé en deux. Là. Comme lui mais en plus petits morceaux qu'tu finis si jsuis pas content. Capisce ?
"O-Oui Monsieur."
Bon. Maintenant le volant. Couloir couloir. Escalier. Contournage de pont principal. Hop petite échelle. Hop petit rétablissement. Oups, la cheville. Et on sifflote, et on sifflote gaiement.
Tiens, personne ? Oh, Colonel, enfin. Quelle imprévoyance.
Et on tourne la roue, et on tourne la roue. Youpaïe le bras gauche.
Direction plein large toute, matelots !
Narnak- L'Acide
Leiah N. Mòr Maëlys- 'Lei
- Localisation RP : East Blue mais espère aller à Grand Line.
Rang/Grade : Simple Pirate.
Supérieur : Elle-même.
Re: Quand les ennuis se présentent... [ Narnak ]
La petite semblait se résigner. Tant mieux, il ne restait plus qu'à se charger du chevelu avant de quitter tranquillement cette île. Enfin, sauf si le sort en décidait autrement évidemment, et il semblait être assez joueur ce jour là. Enfin, autant faire avec de toute manière. Donc, tout d'abord, faire le point:
Un gros tremblement de terre sur un navire, c'est pas commun. Enfin, tirer à travers le bois de son propre navire c'est pas commun aussi. M'enfin, il est solide le Mustang, et c'est pas la première fois qu'il se fait trouer. Mais c'est toujours un peu énervant quand ça arrive Et surtout quand on en vient à perdre l'équilibre et qu'une donzelle décide d'en faire autant et de vous entrainer dans sa chute. Du coup, on plonge...
Et on ressort en retenant un petit chapelet de jurons (même si techniquement, on devrait pouvoir se le permettre sans attirer de foudre à un bateau). Petit coup d'oeil aux alentours, et un sac de fruit qui s'accroche mais pas le temps de se laisser distraire. Un gros trou s'est formé dans la coque du Mustang, ça va pas aller leur trip à cette bande de larrons. Et les roues à aube qui se mettent en marche aussi ? La gamine qui hurle à ce qui ressemble étrangement à un prisonnier, bon, du moment qu'on tient un responsable, on sait sur quelle tête frapper. On se dégage donc du poids mort et on fonce. Il est pas très loin le bateau, c'est possible de le rattraper.
D'ailleurs, l'ancre était en train d'être levée. Le directive du colonel étaient clair, faire tout le possible pour garder le bateau intact. Non seulement il avait déjà un trou qui ne devait pas y être, mais en plus s'il allait s'échouer on ne sait pas trop où, les responsables prendraient sévère sur la caboche. Du coup, Ysen fonça vers la chaine qui en train d'être remontée et s'y accrocha. Une fois à la hauteur des canons, il sauta directement dans le trou formé par le tir de tout à l'heure. Il ne s'y attendait pas le petit Bob, à recevoir la visite du gradé de service qui commençait gentiment à en avoir assez de voir que les repas qu'il offrait se terminer en affrontement désorganisé. Il ne resta pas debout longtemps l'affro. Dommage, mais bon, c'est un mal pour bien.
Une fois la porte débloquée et l'équipe de soldats qui poussaient derrière étonnée de retrouver son colonel trempé avec la tête du prisonnier dans la main, Licinius, sans prendre le temps de donner d'autres explications, fonça vers le pont principal. Autant dire qu'il fit vite. Et qu'il apprécia moyennement de retrouver Narnak à la barre. Sans perdre son calme, ni son sourire, il s'approcha jusqu'à être à une distance d'où il pouvait aisément voir venir une attaque. Il largua la tête de Bob, qui roula jusqu'aux pieds du Kan. Le colonel espérait en terminer rapidement, et si possible sans plus de dommage.
"Dites moi, cher Narnak, vous ne me parliez pas d'une poulie tout à l'heure ? Je croyait bien faire en vous la rapportant, mais vous ne semblez plus vouloir y attacher autant d'importance..."
Ysen leva le doigt vers la caisse que ses hommes n'avaient pas pu charger sur le navire, faute de passerelle. Dessus reposait une belle poulie qui n'avait rien d'autre à faire que d'attendre. Le ponton sur lequel elles étaient s'éloignait lentement, tout comme le bateau de Leiah en fait.
"Je me trouve désolé de ne pouvoir vous la rendre en main propre. J'espère que vous ne m'en tiendrez pas ombrage."
Un gros tremblement de terre sur un navire, c'est pas commun. Enfin, tirer à travers le bois de son propre navire c'est pas commun aussi. M'enfin, il est solide le Mustang, et c'est pas la première fois qu'il se fait trouer. Mais c'est toujours un peu énervant quand ça arrive Et surtout quand on en vient à perdre l'équilibre et qu'une donzelle décide d'en faire autant et de vous entrainer dans sa chute. Du coup, on plonge...
Et on ressort en retenant un petit chapelet de jurons (même si techniquement, on devrait pouvoir se le permettre sans attirer de foudre à un bateau). Petit coup d'oeil aux alentours, et un sac de fruit qui s'accroche mais pas le temps de se laisser distraire. Un gros trou s'est formé dans la coque du Mustang, ça va pas aller leur trip à cette bande de larrons. Et les roues à aube qui se mettent en marche aussi ? La gamine qui hurle à ce qui ressemble étrangement à un prisonnier, bon, du moment qu'on tient un responsable, on sait sur quelle tête frapper. On se dégage donc du poids mort et on fonce. Il est pas très loin le bateau, c'est possible de le rattraper.
D'ailleurs, l'ancre était en train d'être levée. Le directive du colonel étaient clair, faire tout le possible pour garder le bateau intact. Non seulement il avait déjà un trou qui ne devait pas y être, mais en plus s'il allait s'échouer on ne sait pas trop où, les responsables prendraient sévère sur la caboche. Du coup, Ysen fonça vers la chaine qui en train d'être remontée et s'y accrocha. Une fois à la hauteur des canons, il sauta directement dans le trou formé par le tir de tout à l'heure. Il ne s'y attendait pas le petit Bob, à recevoir la visite du gradé de service qui commençait gentiment à en avoir assez de voir que les repas qu'il offrait se terminer en affrontement désorganisé. Il ne resta pas debout longtemps l'affro. Dommage, mais bon, c'est un mal pour bien.
Une fois la porte débloquée et l'équipe de soldats qui poussaient derrière étonnée de retrouver son colonel trempé avec la tête du prisonnier dans la main, Licinius, sans prendre le temps de donner d'autres explications, fonça vers le pont principal. Autant dire qu'il fit vite. Et qu'il apprécia moyennement de retrouver Narnak à la barre. Sans perdre son calme, ni son sourire, il s'approcha jusqu'à être à une distance d'où il pouvait aisément voir venir une attaque. Il largua la tête de Bob, qui roula jusqu'aux pieds du Kan. Le colonel espérait en terminer rapidement, et si possible sans plus de dommage.
"Dites moi, cher Narnak, vous ne me parliez pas d'une poulie tout à l'heure ? Je croyait bien faire en vous la rapportant, mais vous ne semblez plus vouloir y attacher autant d'importance..."
Ysen leva le doigt vers la caisse que ses hommes n'avaient pas pu charger sur le navire, faute de passerelle. Dessus reposait une belle poulie qui n'avait rien d'autre à faire que d'attendre. Le ponton sur lequel elles étaient s'éloignait lentement, tout comme le bateau de Leiah en fait.
"Je me trouve désolé de ne pouvoir vous la rendre en main propre. J'espère que vous ne m'en tiendrez pas ombrage."
Licinius Ysen- Shirookami
- Localisation RP : South Blue
Rang/Grade : Colonel
Supérieur : Amiral Tsuru
Feuille de personnage
Points de vie:
(600/600)
Re: Quand les ennuis se présentent... [ Narnak ]
Jvais tdire un truc gamin. Le mode berserk, c’est top mais ça a deux inconvénients. De un, tu vois tout rouge donc c’est pas tip-top pour voir tout bien les détails, ça demande un peu d’apprentissage avant de réussir à faire avec sans se cogner partout. De deux, ça rend un brin susceptible. Quand une gentille gamine se retrouve à la baille et qu’un sournois en profite pour la peloter avant de remonter par l’ancre qui se relève alors que t’es en train de te tailler avec son navire, déjà, ça fait monter la pression alors que, objectivement, en temps normal, tu t’en foutrais un peu vu que tu la connais pas la môme. Mais, quand ton pote que tu venais à peine de retrouver par la plus pure des chances et de délivrer des forces du mal que sont les armées de la grande mouette, quand ce pote en question se fait buter d’une manière pas du tout correcte presque sous tes yeux alors qu’il jouait tranquillement dans son coin à empiler des morceaux de cadavres en uniforme pour faire un joli tas bien taillé au cordeau, là, là, c’est un coup à voir plus rouge que rouge. Ecarlate.
Ecarlate, v’là comme j’étais quand le gars Ysen est venu me teaser jusque dans la cabine où c’que, pépère, je m’occupais à mener sa barque à vapeur vers le grand infini de l’océan pour, au choix, la couler comme j’avais fait pas longtemps auparavant avec le bateau des pirates qui m’avaient enlevé ou me l’accaparer. Quand la tête du Bob est venu me frapper la bottine, j’ai pas tiqué. La poulie, je savais que c’était pas la bonne, elle me l’avait dit quand elle avait coulé. Alors je l’ai regardé dans les yeux le goéland qu’essayait de me rouler avec son substitut de poulie mal fagoté. Pis j’ai regardé le dernier rictus de l’Affro en bas. Pis j’ai deux synapses qu’ont grillé là-haut. D’un coup de pied bien senti, j’ai réduit le chef du blackos en bouillie avec tous mes souvenirs de lui. Il était mort, ben v’là. C’tait con mais maintenant il fallait passer à autre chose. Et pour faciliter le transit, quoi de mieux que de réduire un équipage en pâtée pour plancton, hein fils ? Pour tout dire, Bobby avait bien bossé et il en restait déjà pas grand-chose, de l’escouade. Ptêtre une quinzaine de minus qui s’agitaient la nouille sur le pont en observant ce que j’allais faire ou pas à leur grand patron.
Le grand patron, d’ailleurs, il me quittait pas des mirettes. Enfin c’était pas comme si je pouvais vraiment voir derrière ses paupières mais je savais que j’avais son attention. J’avais deux solutions : l’attaquer de front puis jeter ses copains un par un par-dessus bord après, ou jeter ses copains un par un par-dessus bord d’abord et l’attaquer lui après. J’ai fait pique-nid-douille mais ça a pas marché parce que le mode berserk en fait ça a pas deux mais trois inconvénients : en plus des deux autres de ’t’à’l’heure, t’as autre chose en tête comme pensées que de jouer à pique-nid-douille. Au lieu de ça, donc, j’ai juste sauté depuis derrière le volant jusqu’au coin du pont où se trouvaient le plus de violets. Oui, les bleus, avec la vision rouge du mode berserk, ils deviennent violets. Bon, donc là j’ai voulu faire du ménage mais les gamins étaient pas chauds-chauds en fait, donc je msuis retrouvé comme un couillon avec une cheville qui grognait et à peine une baïonnette à planter dans une carotide qui passait par là. Score maigre, on est d’accord. Les autres se sont taillés dans un peu toutes les directions et y en a même un qui s’est jeté à l’eau tout seul, bien discipliné comme on lui a appris à l’école des marines.
C’est d’ailleurs quand je l’ai vu se mettre en mode plongeon et sauter comme un pingouin, avec les deux mains devant comme ça, que jme suis rappelé la ptite qui devait commencer à se les geler avec son short dans les eaux de l’océan infini tout ça. Du coup jsuis repassé en mode berserk I la seconde suffisante à lui balancer une amarre qui se baladait comme ça sur le pont. Elle était assez grande pour le reste. Et puis jme suis retourné vers l’albinos, ’stoire qu’y croie pas avoir les coudées suffisamment franches pour ramener la nef au port. C’t’à c’moment que j’ai senti comme un ralentissement dans les vibrations du pont.
"Oh, Général !! T’as déjà oublié c’que j’ai dit ?!"
Et la gueulante a suffit. Le ptit jeune avait essayé de m’feinter à son tour mais on me la fait pas à moi. Et hop c’était reparti et on fonçait à nouveau tout droit vers... Euh. En cercle. Oui parce qu’on s’était remis à tourner. L’instant d’avant on allait droit vers le large et le bateau de la Leiah. L’instant d’après, donc maintenant dans mon histoire, on virait dans un sens qu’allait pas tarder à être dangereux si c’était bien un demi-tour qu’était en train de s’opérer par le jeu taquin de c’bon vieux pote hasard (spécial cassedédi). Et ça semblait être le cas. Eh oui gamin, en fait faut savoir qu’on abandonne pas une barre de navire comme ça sans la verrouiller sur sa position, même sans colonel chafouin à proximité. Sinon elle tourne toute seule. Retiens la leçon. Cela dit, 180° de rotation ça se fait pas dans la minute avec une frégate d’autant de tonneaux que celle de ce bon vieux pote Ysen. Ca s’est fait assez progressivement pour que j’aie le temps de me rapprocher subrepticement d’un gros canon que mon pote l’Affro avait pas eu le temps d’allumer avant de finir en deux morceaux. Le ptit Licinius allait voir ce qu’il allait voir, tant pis pour le poste de pilotage.
Et il a bien dû voir, le rigolo, toujours là où je l’avais laissé. Une marche arrière, un quart de tour, une prise de visée tranquille en une fraction de seconde parce qu’on a le temps et une petite étincelle avec une pierraille faite pour ça qui passait elle aussi par là et boum le petit boulet.
"Nan, nan, pas du tout ombrage chef !"
Ecarlate, v’là comme j’étais quand le gars Ysen est venu me teaser jusque dans la cabine où c’que, pépère, je m’occupais à mener sa barque à vapeur vers le grand infini de l’océan pour, au choix, la couler comme j’avais fait pas longtemps auparavant avec le bateau des pirates qui m’avaient enlevé ou me l’accaparer. Quand la tête du Bob est venu me frapper la bottine, j’ai pas tiqué. La poulie, je savais que c’était pas la bonne, elle me l’avait dit quand elle avait coulé. Alors je l’ai regardé dans les yeux le goéland qu’essayait de me rouler avec son substitut de poulie mal fagoté. Pis j’ai regardé le dernier rictus de l’Affro en bas. Pis j’ai deux synapses qu’ont grillé là-haut. D’un coup de pied bien senti, j’ai réduit le chef du blackos en bouillie avec tous mes souvenirs de lui. Il était mort, ben v’là. C’tait con mais maintenant il fallait passer à autre chose. Et pour faciliter le transit, quoi de mieux que de réduire un équipage en pâtée pour plancton, hein fils ? Pour tout dire, Bobby avait bien bossé et il en restait déjà pas grand-chose, de l’escouade. Ptêtre une quinzaine de minus qui s’agitaient la nouille sur le pont en observant ce que j’allais faire ou pas à leur grand patron.
Le grand patron, d’ailleurs, il me quittait pas des mirettes. Enfin c’était pas comme si je pouvais vraiment voir derrière ses paupières mais je savais que j’avais son attention. J’avais deux solutions : l’attaquer de front puis jeter ses copains un par un par-dessus bord après, ou jeter ses copains un par un par-dessus bord d’abord et l’attaquer lui après. J’ai fait pique-nid-douille mais ça a pas marché parce que le mode berserk en fait ça a pas deux mais trois inconvénients : en plus des deux autres de ’t’à’l’heure, t’as autre chose en tête comme pensées que de jouer à pique-nid-douille. Au lieu de ça, donc, j’ai juste sauté depuis derrière le volant jusqu’au coin du pont où se trouvaient le plus de violets. Oui, les bleus, avec la vision rouge du mode berserk, ils deviennent violets. Bon, donc là j’ai voulu faire du ménage mais les gamins étaient pas chauds-chauds en fait, donc je msuis retrouvé comme un couillon avec une cheville qui grognait et à peine une baïonnette à planter dans une carotide qui passait par là. Score maigre, on est d’accord. Les autres se sont taillés dans un peu toutes les directions et y en a même un qui s’est jeté à l’eau tout seul, bien discipliné comme on lui a appris à l’école des marines.
C’est d’ailleurs quand je l’ai vu se mettre en mode plongeon et sauter comme un pingouin, avec les deux mains devant comme ça, que jme suis rappelé la ptite qui devait commencer à se les geler avec son short dans les eaux de l’océan infini tout ça. Du coup jsuis repassé en mode berserk I la seconde suffisante à lui balancer une amarre qui se baladait comme ça sur le pont. Elle était assez grande pour le reste. Et puis jme suis retourné vers l’albinos, ’stoire qu’y croie pas avoir les coudées suffisamment franches pour ramener la nef au port. C’t’à c’moment que j’ai senti comme un ralentissement dans les vibrations du pont.
"Oh, Général !! T’as déjà oublié c’que j’ai dit ?!"
Et la gueulante a suffit. Le ptit jeune avait essayé de m’feinter à son tour mais on me la fait pas à moi. Et hop c’était reparti et on fonçait à nouveau tout droit vers... Euh. En cercle. Oui parce qu’on s’était remis à tourner. L’instant d’avant on allait droit vers le large et le bateau de la Leiah. L’instant d’après, donc maintenant dans mon histoire, on virait dans un sens qu’allait pas tarder à être dangereux si c’était bien un demi-tour qu’était en train de s’opérer par le jeu taquin de c’bon vieux pote hasard (spécial cassedédi). Et ça semblait être le cas. Eh oui gamin, en fait faut savoir qu’on abandonne pas une barre de navire comme ça sans la verrouiller sur sa position, même sans colonel chafouin à proximité. Sinon elle tourne toute seule. Retiens la leçon. Cela dit, 180° de rotation ça se fait pas dans la minute avec une frégate d’autant de tonneaux que celle de ce bon vieux pote Ysen. Ca s’est fait assez progressivement pour que j’aie le temps de me rapprocher subrepticement d’un gros canon que mon pote l’Affro avait pas eu le temps d’allumer avant de finir en deux morceaux. Le ptit Licinius allait voir ce qu’il allait voir, tant pis pour le poste de pilotage.
Et il a bien dû voir, le rigolo, toujours là où je l’avais laissé. Une marche arrière, un quart de tour, une prise de visée tranquille en une fraction de seconde parce qu’on a le temps et une petite étincelle avec une pierraille faite pour ça qui passait elle aussi par là et boum le petit boulet.
"Nan, nan, pas du tout ombrage chef !"
Narnak- L'Acide
Leiah N. Mòr Maëlys- 'Lei
- Localisation RP : East Blue mais espère aller à Grand Line.
Rang/Grade : Simple Pirate.
Supérieur : Elle-même.
Re: Quand les ennuis se présentent... [ Narnak ]
"Vous m'en voyez fort aise."
Oui, ce n'était pas qu'une impression, la voix d'Ysen venait de très, très près. En fait, son visage d'ange se trouvait juste devant celui de Narnak. Le reste de son corps était bien évidemment en dessous, en équilibre sur le bout du canon. Le coup parti, aucun soucis là dessus, et pas vraiment contre la volonté du colonel qui, tant qu'à faire, aurait très bien pu couper la mèche. Mais bon, il faut dire que la poisse suivait se navire comme la peste, ne serait-ce qu'à cause de cette charogne de jeune fille qui semblait vouloir à tout prix y remonter... Licinius avait donc décidé que la chance du White Mustang c'était dissipée et qu'il était donc devenu un porte-malheur en puissance, et tout ce qu'Ysen avait à faire des portes-malheurs, c'était de s'en débarrasser rapidement. Du coup, le boulet qui traverse de plancher, au final, c'est pas le plus grave.
Mais revenons-en au coup de canon. Il est bien évident qu'une telle arme opère un recul assez puissant, et qu'il n'est donc pas conseillé de rester derrière à bailler aux corneilles au moment de laisser partir le coup. Surtout si le frein du canon ne se trouve pas derrière celui-ci à cause d'une utilisation inappropriée du matériel. Shirookami observa avec satisfaction le gros tube en fonte s'expulser avec violence vers l'estomac du Kan -En gros, il souriait, pour changer- alors que lui se trouvait à mi-hauteur juste en dessus du trou formé par le boulet. Il se laissa tomber à l'étage du dessous, dans un corridor bien mieux éclairé qu'auparavant malgré la poussière omniprésente dans l'air. Un son aquatique se faisait entendre au dessous. Sans perdre de temps, le gradé passa un porte et se retrouva dans ses appartements personnels. Il s'agissait de la chambre la plus grande du navire et de tous les côtés se trouvaient des étagères sur lesquelles des pliages en papier se trouvaient. Il y en avait tellement que l'on ne pouvait voir les murs derrières. Une bonne moitié du sol était recouverte par des pilles de feuilles blanches qui avaient été étalées au sol par les différentes secousses que le navire avait subit. Le colonel ne put s'empêcher de faire une pause devant se spectacle, qui lui remplissait le coeur de peine et de joie, avant de foncer vers le bureau, en contournant la copie de lui même grandeur nature en origami, et d'en ouvrir les tiroirs. Il en sorti deux eternal poses qu'il rangea dans les plis de son kimono. L'un donnait la direction d'Ennies Lobby, où il allait devoir retourner pour faire son rapport, et l'autre se dirigeait vers l'île de son mentor. Dans tous les cas, il n'allait pas abandonner ces deux objets dans un éventuel naufrage.
Sur le pont, les soldats concentraient leurs efforts sur la petite Leiah. Elle se battait comme une folle et réussissait à les garder à distance avec son fouet. Mais bon, on est sur un navire de la marine qui a l'habitude de voyager sur Grand Line aussi. Un des piteux pions du colonel s'en est souvenu, et fait son apparition sur le pont avec ce qui semble être un croisement entre un fusil et un canon. Et il fait feu en direction de la pirate qui voit un filet foncer vers elle. La distraction ainsi causée permet à un des bleus d'attraper la donzelle et de terminer le passage de menottes qui avait été commencé quelques temps auparavant. Et vu qu'elle a déjà fait subir le même sort à bon nombre de ses comparses, il la projette, les mains liées dans le dos, par dessus le bastingage, direction la flotte. Nan mais oh, ça va un moment de rigoler avec les marines, mais il arrive parfois qu'ils s'énervent un tantinet eux aussi...
Et d'ailleurs, les quelques uniformes passés par dessus bord s'empressent de remonter par l'amarre de la jeune Leiah. Ils arrivent sur le pont et récupèrent leurs armes. Ils ont l'air d'avoir finalement compris qu'ils avaient affaire à quelqu'un de sérieux. En restant à distance respectable et armés de fusils ou de canons à filets, ils tiennent le Kan en joue et font feu sur l'intrus, qui n'allait certainement pas tarder à se remettre de son coup de canon, avec la ferme intention de le tenir à distance. Et comme les souvenirs de leur entrainements reviennent peu à peu, ils font bien attention à ne pas se retrouver à court de munitions en même temps, ce qui serait tout de même un petit peu dérangeant.
Oui, ce n'était pas qu'une impression, la voix d'Ysen venait de très, très près. En fait, son visage d'ange se trouvait juste devant celui de Narnak. Le reste de son corps était bien évidemment en dessous, en équilibre sur le bout du canon. Le coup parti, aucun soucis là dessus, et pas vraiment contre la volonté du colonel qui, tant qu'à faire, aurait très bien pu couper la mèche. Mais bon, il faut dire que la poisse suivait se navire comme la peste, ne serait-ce qu'à cause de cette charogne de jeune fille qui semblait vouloir à tout prix y remonter... Licinius avait donc décidé que la chance du White Mustang c'était dissipée et qu'il était donc devenu un porte-malheur en puissance, et tout ce qu'Ysen avait à faire des portes-malheurs, c'était de s'en débarrasser rapidement. Du coup, le boulet qui traverse de plancher, au final, c'est pas le plus grave.
Mais revenons-en au coup de canon. Il est bien évident qu'une telle arme opère un recul assez puissant, et qu'il n'est donc pas conseillé de rester derrière à bailler aux corneilles au moment de laisser partir le coup. Surtout si le frein du canon ne se trouve pas derrière celui-ci à cause d'une utilisation inappropriée du matériel. Shirookami observa avec satisfaction le gros tube en fonte s'expulser avec violence vers l'estomac du Kan -En gros, il souriait, pour changer- alors que lui se trouvait à mi-hauteur juste en dessus du trou formé par le boulet. Il se laissa tomber à l'étage du dessous, dans un corridor bien mieux éclairé qu'auparavant malgré la poussière omniprésente dans l'air. Un son aquatique se faisait entendre au dessous. Sans perdre de temps, le gradé passa un porte et se retrouva dans ses appartements personnels. Il s'agissait de la chambre la plus grande du navire et de tous les côtés se trouvaient des étagères sur lesquelles des pliages en papier se trouvaient. Il y en avait tellement que l'on ne pouvait voir les murs derrières. Une bonne moitié du sol était recouverte par des pilles de feuilles blanches qui avaient été étalées au sol par les différentes secousses que le navire avait subit. Le colonel ne put s'empêcher de faire une pause devant se spectacle, qui lui remplissait le coeur de peine et de joie, avant de foncer vers le bureau, en contournant la copie de lui même grandeur nature en origami, et d'en ouvrir les tiroirs. Il en sorti deux eternal poses qu'il rangea dans les plis de son kimono. L'un donnait la direction d'Ennies Lobby, où il allait devoir retourner pour faire son rapport, et l'autre se dirigeait vers l'île de son mentor. Dans tous les cas, il n'allait pas abandonner ces deux objets dans un éventuel naufrage.
Sur le pont, les soldats concentraient leurs efforts sur la petite Leiah. Elle se battait comme une folle et réussissait à les garder à distance avec son fouet. Mais bon, on est sur un navire de la marine qui a l'habitude de voyager sur Grand Line aussi. Un des piteux pions du colonel s'en est souvenu, et fait son apparition sur le pont avec ce qui semble être un croisement entre un fusil et un canon. Et il fait feu en direction de la pirate qui voit un filet foncer vers elle. La distraction ainsi causée permet à un des bleus d'attraper la donzelle et de terminer le passage de menottes qui avait été commencé quelques temps auparavant. Et vu qu'elle a déjà fait subir le même sort à bon nombre de ses comparses, il la projette, les mains liées dans le dos, par dessus le bastingage, direction la flotte. Nan mais oh, ça va un moment de rigoler avec les marines, mais il arrive parfois qu'ils s'énervent un tantinet eux aussi...
Et d'ailleurs, les quelques uniformes passés par dessus bord s'empressent de remonter par l'amarre de la jeune Leiah. Ils arrivent sur le pont et récupèrent leurs armes. Ils ont l'air d'avoir finalement compris qu'ils avaient affaire à quelqu'un de sérieux. En restant à distance respectable et armés de fusils ou de canons à filets, ils tiennent le Kan en joue et font feu sur l'intrus, qui n'allait certainement pas tarder à se remettre de son coup de canon, avec la ferme intention de le tenir à distance. Et comme les souvenirs de leur entrainements reviennent peu à peu, ils font bien attention à ne pas se retrouver à court de munitions en même temps, ce qui serait tout de même un petit peu dérangeant.
Licinius Ysen- Shirookami
- Localisation RP : South Blue
Rang/Grade : Colonel
Supérieur : Amiral Tsuru
Feuille de personnage
Points de vie:
(600/600)
Re: Quand les ennuis se présentent... [ Narnak ]
Dans Narnak, y a narre, c’qui présage d’un talent certain pour le racontage d’histoires à tendance vaguement drôlatique et aventureuse, et y a naque, c’qui sonne bien mais n’veut en revanche absolument rien dire mais il fallait bien un début à ce message. Alors il narre le Kan, il narre et il narre. Il narre packil n’a que ça à foutre face à un adversaire qui s’prend pour Captain Classe alors qu’en fait il est colonel et qu’son blaze f’rait coucher dehors le moindre cave même complètement défoncé au jus de canasuc’. Nan mais franchment. Splanter droit comme une quille sur un canon qu’est en train d’faire feu et s’prendre pour le roi de la galaxie avant de tomber comme une pierre dans le trou fait dans le plancher de par la subtile manœuvre, dans l’genre cliché, convenez qu’c’est pas mal. Et espérer que le Nak qui narre se prenne le recul dans le bedon, faut être du genre optimiste et oser prendre le vieux lascar pour le dernier des demeurés. Pas besoin d’avoir été goéland dans les rangs de la grande mouette pour faire gaffe à ce genre de détails d’instinct, et si quand bien même c’est le cas, ça tombe bien : il a été goéland dans les rangs de la grande mouette, l’artilleur du moment (tu noteras l’doublsens, toi qui m’lis, un artilleur étant aussi un gusse qui s’imbibe de pas mal de canons).
Bref, l’arme fait boum, le boulet va faire splouch dans le fond du fond du navire qui fait la gueule direct en se cabrant un peu sur la mer, comme ça, là, gniiih. La charpente aussi tire la tronche et la quille fait un bruit bizarre du genre glou glou. Pas b’soin d’être Narnak le Devin pour savoir c’qui se passe. Pas b’soin d’être bien futé non plus pour se douter que l’Ysen a beau faire son malin dans ses fringues de jaune tout moche qu’a trop lu les aventures de bambi chez les karatékids, c’est lui aussi qui f’ra le malin en preums quand la flotte remontera jusqu’à son ptit bureau propret. D’ailleurs faut tellement pas être malin pour cogiter dans ce sens-là que la grosse dizaine de gonzes qu’entoure le duo devenu mono quand la jeunotte s’est fait envoyer en bis repetita placent direction la baille avé les fers aux poignets, eh ben elle cogite. Ca fume dans les cervelas gras souillés des Marins et ça pense et ça pense. Et ça tire la tronche. Un captain qui sacrifie son bateau, c’est mauvais signe et ça rend mou des genoux et des tripes. Ca donne même envie de r’plonger direct après avoir tant bien que mal repris pied sur le pont depuis les amarres chopées alors qu’on était parti faire trempette.
Et ça, un carburateur à jeun comme un Narnak qui vient de déjeuner d’une quinzaine de jeunes recrues, il le remarque. Ca donne une ptite lueur toute déconfite au regard qui passe pas inaperçue. Genre tu pointes ton fusil packe t’as un vieux réflexe mais tout en louchottant vers le port en te demandant quand est-ce que nom d’un foutre de narval la proue va s’enfoncer dans la capitainerie à tout ça d’encablures bordel maman. Et celle-là on la fait pas à un vieux d’bientôt quarante ans. On la lui fait pas et quand on tire la gâchette en regardant à côté sans faire gaffe, on loupe forcément, vu qu’il est déjà en train d’égorger avec les dents celui qui faisait pareil que soi avec son mousquet à filet de gladiateur qui s’est paumé d’espace-temps. Et la grosse dizaine devient ptite dizaine, puis dix, puis neuf. Et les cadavres qui suivent le boulet du début d’viennent un, puis deux, puis trois. Ca fait un joli p’tit tas qu’éponge un peu les glouglous de la coque et qui convainc les autres que l’bonhomme y rigole pas.
"Bon les ptits gars, vot’ boss s’est tiré et jrecrute. Z’avez deux s’condes pour v’décider. Un deux alors ?"
Et grâce aux dés du destin dans ta face, ils sont dix à dire okay on est avec toi chef nous décapite pas comme Le Momo et Le Lulu chef. Dix parce que y en a un qui steak haché derrière un gros tas de... euh... de voiles ? Ah oui tiens maintenant que vous l’dites, c’est vrai qu’c’est un hybride le ptit Mustang. On les r’marquerait presque pas les mâts comme ça, là, tout nus comme ils sont, mais... Voile et vapeur, farpaitement. Fort de ces sous-entendus foireux, v’là l’nouveau capichef qui donne ses ordres à sa nouvelle ptite valetaille en boîtillant vers le bastingage pour voir c’qu’y lui est arrivé à la Leiah. Et allez qu’on descend dans les cales l’triangle carré de coton lourd grand comme un terrain de basket qui lui aussi se serait planté de dimension spatio-temporelle, et vas-y que j’te défonce la porte-là et vas-y que j’te défonce la porte-mi et vas-y que j’t’installe une chaîne de seaux qui va pas vite mais qu’écope comme elle peut pendant que deux braves s’dévouent pour aller colmater la plaie à l’ancienne avec le tissu et hop hop hop ça vous la coupe hein on a pas coulé. Ouais ouais. Une voile c’est assez épais pour colmater une brèche propre comme celle que crée un boulet, et la pression de l’eau qui remonte suffit à la maintenir en place quand on sait y faire et qu’on est bien dirigé par une bonne voix bien grave de bon meneur.
Et v’la même l’planqué qui s’improvise charpentier, qui récolte des planches où y peut, qui passe dans le trou du boulet sans jeter un regard à son ancien colonel. Qui prépare ses clous et son maillet les pieds sur les molaires des potes trépassés qui flottillent entre deux eaux dans les deux pouces de flotte qui recouvrent les varangues dans les cales. Loyauté mon cul, poulet. En situation d’urgence, faut pas croire les histoires, c’est toujours c’ui qu’a la plus grosse et jamais c’ui qui s’tire avant la fin de la fête qui prend les rênes. Et en l’occurrence, l’alpha, c’est pas toi mais c’ui qu’a du rouge jusqu’aux oreilles. Narnak le Rouge mon gars. Ciao poto, si t’es encore là tire-toi comme tu veux on fait pas attention à toi. Mais t’approches pas du chef, tu risquerais d’glisser dans ton sourire visqueux. Et l’bonjour à ton amiral.
Et l’machiniste machine et l’charpentier charpente et les écopeurs écopent. Et l’nouveau barreur barre en sens inverse toute, direction le plein large encore merde quoi putain.
Et l’manteau r’peint en rouge carmin et la veste trouée et le bras garrotté et la main sur le torse entre deux boutons façon nabot corsimpérieux que personne connaît dans ce monde-ci, Kan le berserk s’est calmé et demande des nouvelles à la mignonne qu’est pas à portée de vue.
"Hé, fillette, t’es dans l’coin ?! Ca t’dit un tour dans ma grosse barque ?"
Bref, l’arme fait boum, le boulet va faire splouch dans le fond du fond du navire qui fait la gueule direct en se cabrant un peu sur la mer, comme ça, là, gniiih. La charpente aussi tire la tronche et la quille fait un bruit bizarre du genre glou glou. Pas b’soin d’être Narnak le Devin pour savoir c’qui se passe. Pas b’soin d’être bien futé non plus pour se douter que l’Ysen a beau faire son malin dans ses fringues de jaune tout moche qu’a trop lu les aventures de bambi chez les karatékids, c’est lui aussi qui f’ra le malin en preums quand la flotte remontera jusqu’à son ptit bureau propret. D’ailleurs faut tellement pas être malin pour cogiter dans ce sens-là que la grosse dizaine de gonzes qu’entoure le duo devenu mono quand la jeunotte s’est fait envoyer en bis repetita placent direction la baille avé les fers aux poignets, eh ben elle cogite. Ca fume dans les cervelas gras souillés des Marins et ça pense et ça pense. Et ça tire la tronche. Un captain qui sacrifie son bateau, c’est mauvais signe et ça rend mou des genoux et des tripes. Ca donne même envie de r’plonger direct après avoir tant bien que mal repris pied sur le pont depuis les amarres chopées alors qu’on était parti faire trempette.
Et ça, un carburateur à jeun comme un Narnak qui vient de déjeuner d’une quinzaine de jeunes recrues, il le remarque. Ca donne une ptite lueur toute déconfite au regard qui passe pas inaperçue. Genre tu pointes ton fusil packe t’as un vieux réflexe mais tout en louchottant vers le port en te demandant quand est-ce que nom d’un foutre de narval la proue va s’enfoncer dans la capitainerie à tout ça d’encablures bordel maman. Et celle-là on la fait pas à un vieux d’bientôt quarante ans. On la lui fait pas et quand on tire la gâchette en regardant à côté sans faire gaffe, on loupe forcément, vu qu’il est déjà en train d’égorger avec les dents celui qui faisait pareil que soi avec son mousquet à filet de gladiateur qui s’est paumé d’espace-temps. Et la grosse dizaine devient ptite dizaine, puis dix, puis neuf. Et les cadavres qui suivent le boulet du début d’viennent un, puis deux, puis trois. Ca fait un joli p’tit tas qu’éponge un peu les glouglous de la coque et qui convainc les autres que l’bonhomme y rigole pas.
"Bon les ptits gars, vot’ boss s’est tiré et jrecrute. Z’avez deux s’condes pour v’décider. Un deux alors ?"
Et grâce aux dés du destin dans ta face, ils sont dix à dire okay on est avec toi chef nous décapite pas comme Le Momo et Le Lulu chef. Dix parce que y en a un qui steak haché derrière un gros tas de... euh... de voiles ? Ah oui tiens maintenant que vous l’dites, c’est vrai qu’c’est un hybride le ptit Mustang. On les r’marquerait presque pas les mâts comme ça, là, tout nus comme ils sont, mais... Voile et vapeur, farpaitement. Fort de ces sous-entendus foireux, v’là l’nouveau capichef qui donne ses ordres à sa nouvelle ptite valetaille en boîtillant vers le bastingage pour voir c’qu’y lui est arrivé à la Leiah. Et allez qu’on descend dans les cales l’triangle carré de coton lourd grand comme un terrain de basket qui lui aussi se serait planté de dimension spatio-temporelle, et vas-y que j’te défonce la porte-là et vas-y que j’te défonce la porte-mi et vas-y que j’t’installe une chaîne de seaux qui va pas vite mais qu’écope comme elle peut pendant que deux braves s’dévouent pour aller colmater la plaie à l’ancienne avec le tissu et hop hop hop ça vous la coupe hein on a pas coulé. Ouais ouais. Une voile c’est assez épais pour colmater une brèche propre comme celle que crée un boulet, et la pression de l’eau qui remonte suffit à la maintenir en place quand on sait y faire et qu’on est bien dirigé par une bonne voix bien grave de bon meneur.
Et v’la même l’planqué qui s’improvise charpentier, qui récolte des planches où y peut, qui passe dans le trou du boulet sans jeter un regard à son ancien colonel. Qui prépare ses clous et son maillet les pieds sur les molaires des potes trépassés qui flottillent entre deux eaux dans les deux pouces de flotte qui recouvrent les varangues dans les cales. Loyauté mon cul, poulet. En situation d’urgence, faut pas croire les histoires, c’est toujours c’ui qu’a la plus grosse et jamais c’ui qui s’tire avant la fin de la fête qui prend les rênes. Et en l’occurrence, l’alpha, c’est pas toi mais c’ui qu’a du rouge jusqu’aux oreilles. Narnak le Rouge mon gars. Ciao poto, si t’es encore là tire-toi comme tu veux on fait pas attention à toi. Mais t’approches pas du chef, tu risquerais d’glisser dans ton sourire visqueux. Et l’bonjour à ton amiral.
Et l’machiniste machine et l’charpentier charpente et les écopeurs écopent. Et l’nouveau barreur barre en sens inverse toute, direction le plein large encore merde quoi putain.
Et l’manteau r’peint en rouge carmin et la veste trouée et le bras garrotté et la main sur le torse entre deux boutons façon nabot corsimpérieux que personne connaît dans ce monde-ci, Kan le berserk s’est calmé et demande des nouvelles à la mignonne qu’est pas à portée de vue.
"Hé, fillette, t’es dans l’coin ?! Ca t’dit un tour dans ma grosse barque ?"
Narnak- L'Acide
Leiah N. Mòr Maëlys- 'Lei
- Localisation RP : East Blue mais espère aller à Grand Line.
Rang/Grade : Simple Pirate.
Supérieur : Elle-même.
Re: Quand les ennuis se présentent... [ Narnak ]
Qu'est-ce qu'il arrive à Ysen ? Bonne question. En terminant la fouille de son bureau, il entendit la porte s'ouvrir. Quelqu'un l'avait apparemment suivit jusque là. Narnak ? Le colonel se dit que si c'était bien le cas, son bureau allait très vite se retrouver totalement détruit. Un coup d’œil par dessus le meuble et... Ah non, ce n'était pas lui. C'est un simple soldat qui s'avançait avec les pétoches derrière son fusil. Et d'ailleurs, dès qu'il aperçu la tête de son supérieur il se mit en joue et tira. Heureusement, les réflex de Licinius ne sont pas mauvais, ce serait vraiment con qu'il se fasse descendre comme ça...
"-Co-colonel... Veuillez vous rendre s'il vous plait. Le navire se trouve désormais sous le commandement du... euh... de l'intrus."
C'est vraiment ce qui arrive quand on invite des inconnus à prendre un petit-déjeuner ? C'est un peu excessif quand même. Se relevant lentement, il se fendit d'un immense sourire à l'encontre du soldat, un vrai tire-au-flanc opportuniste qui espérait certainement s'attirer les faveurs du Kan, et lui tendit ses deux poings fermés.
"-Je crois que je dois me faire à l'idée que j'ai perdu."
Le soldat avança, peu certain de ce qu'il allait lui arriver, et baissa son fusil pour passer les menottes à son supérieur, qui en profita bien évidemment pour lui décrocher une bonne droite dans les dents suivit d'une clé de bras et d'un demi-tour de la nuque en bonne et due forme. Rapide, efficace, pas de trace. À peine si le vilain petit forban a eu le temps de lâcher un petit son. En parlant de son, Ysen n'entendait plus le glou-glou du trou de la coque, Narnak s'en serait-il chargé ? C'est qu'il comptait vraiment chourer le White Mustang le bougre. Comme s'il allait en être ainsi.
Retournant à son bureau, le colonel écarta un tas de feuille recouvrant un appareil extrêmement utile et au fonctionnement pour le moins obscur: un den-den mushi ! Une fois le code du quartier général d'East Blue composé, il sorti une carte et un compas d'un tiroir pour vérifier la direction que le navire prenait en attendant que quelqu'un décroche.
"Moshi-moshi ?"
"-Ici le colonel Ysen en mission de transport vers Ennies Lobby. J'ai du faire face à une attaque surprise doublée d'une mutinerie visiblement organisée pour assassiner les prisonniers transportés. Le navire "White Mustang" vient de quitter le port d'Orange et fait actuellement cap vers Yasei. Je demande des renforts, je ne sais combien de temps il me reste avant d'être découvert. Le responsable de l'attaque est un certain Narnak Kan, faites vi~~"
Licinius termina l'appel sans attendre de confirmation en plantant le micro sur le den-den mushi. Parfois, pour éviter les couloirs administratifs, il fallait pousser à la panique. Il avait d'ailleurs pris une voix essoufflée pour communiquer ces informations. Il prit place dans son fauteuil et commença d'attendre qu'on vienne s'occuper de lui en s'imaginant le pauvre employé de bureau courir à travers les couloirs du QG. C'était assez jouissif.
"-Co-colonel... Veuillez vous rendre s'il vous plait. Le navire se trouve désormais sous le commandement du... euh... de l'intrus."
C'est vraiment ce qui arrive quand on invite des inconnus à prendre un petit-déjeuner ? C'est un peu excessif quand même. Se relevant lentement, il se fendit d'un immense sourire à l'encontre du soldat, un vrai tire-au-flanc opportuniste qui espérait certainement s'attirer les faveurs du Kan, et lui tendit ses deux poings fermés.
"-Je crois que je dois me faire à l'idée que j'ai perdu."
Le soldat avança, peu certain de ce qu'il allait lui arriver, et baissa son fusil pour passer les menottes à son supérieur, qui en profita bien évidemment pour lui décrocher une bonne droite dans les dents suivit d'une clé de bras et d'un demi-tour de la nuque en bonne et due forme. Rapide, efficace, pas de trace. À peine si le vilain petit forban a eu le temps de lâcher un petit son. En parlant de son, Ysen n'entendait plus le glou-glou du trou de la coque, Narnak s'en serait-il chargé ? C'est qu'il comptait vraiment chourer le White Mustang le bougre. Comme s'il allait en être ainsi.
Retournant à son bureau, le colonel écarta un tas de feuille recouvrant un appareil extrêmement utile et au fonctionnement pour le moins obscur: un den-den mushi ! Une fois le code du quartier général d'East Blue composé, il sorti une carte et un compas d'un tiroir pour vérifier la direction que le navire prenait en attendant que quelqu'un décroche.
"Moshi-moshi ?"
"-Ici le colonel Ysen en mission de transport vers Ennies Lobby. J'ai du faire face à une attaque surprise doublée d'une mutinerie visiblement organisée pour assassiner les prisonniers transportés. Le navire "White Mustang" vient de quitter le port d'Orange et fait actuellement cap vers Yasei. Je demande des renforts, je ne sais combien de temps il me reste avant d'être découvert. Le responsable de l'attaque est un certain Narnak Kan, faites vi~~"
Licinius termina l'appel sans attendre de confirmation en plantant le micro sur le den-den mushi. Parfois, pour éviter les couloirs administratifs, il fallait pousser à la panique. Il avait d'ailleurs pris une voix essoufflée pour communiquer ces informations. Il prit place dans son fauteuil et commença d'attendre qu'on vienne s'occuper de lui en s'imaginant le pauvre employé de bureau courir à travers les couloirs du QG. C'était assez jouissif.
Licinius Ysen- Shirookami
- Localisation RP : South Blue
Rang/Grade : Colonel
Supérieur : Amiral Tsuru
Feuille de personnage
Points de vie:
(600/600)
Page 2 sur 2 • 1, 2
Sujets similaires
» [Modèle possible] Narnak "Kan" Narnak
» Quand faut y aller .....
» A l'aube d'une Pand'Aventure
» Quand un pianiste s'en vient gaiement
» Tony Tony Chopper ▬ Quand son histoire refait surface [U.C][En cours de modification]
» Quand faut y aller .....
» A l'aube d'une Pand'Aventure
» Quand un pianiste s'en vient gaiement
» Tony Tony Chopper ▬ Quand son histoire refait surface [U.C][En cours de modification]
One Piece Reign :: [RP] Les Océans :: East Blue :: Orange
Page 2 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|