Présentation rapide de l'île.

Voici que vient le temps de vous faire partager ce petit coin de paradis dont je viens. Bien entendu cette description sera complêter au fur et à mesure du jeu.

Ô bienveillants palmiers inclinés, vous qui gardez cette brûlante plage de sable blanc, n'êtes-vous pas aussi les gardiens d'un bout de paradis? Eaux turquoise de cette mer cristalline, quels secrets renfermez-vous ? Ces êtres tropicaux que vous enfermez ne sont-ils pas les anges colorés qui inonde de bonheur les plaisanciers?


Cette prose est connue de tous les habitants de l'île, mais elle fait figure de légende, car aujourd'hui l'île est un véritable complexe industriel.
Ô effroyables boyaux poicres, qui parsemez ces bâtiments gris et dénués de vie, vous recrachez la mort noire et brumeuse ; empoisonnant les pauvres habitants de cette île abandonnée aux vices d'un industriel sans scrupule. Oui Vous! cheminées morbides, qui couvrez le soleil de votre voile sombre, l'air vicié que vous crachez empoisonne ces habitants, qui ont troqué leurs peaux cuivrés pour une peau blafarde et maladive. Mais, ne l'ont ils pas cherchés ces autochtones qui ont préféré vivre dans la honte de leur lâcheté, plutôt que de mourir dans l'héroïsme de leur courage ? Oui vous ! Tuyaux assassins qui assombrissent ces eaux cristallines d'antan, les rendant noires et obscures camouflants nombre de dangers sournois et terribles. Épaisse prison aqueuse pour ces êtres téméraires qui osent s'y aventurer, quels autres périls renfermez-vous?
Mais les terres ne sont guère plus accueillantes, car sont devenus le refuge de bêtes blafardes et apeurés, terribles et cruelles, que sont devenus les hommes. Les chants des oiseaux se sont mués en ronronnement languissants des machines de morts qui fauchent les champs les blés comme la faucheuse fauchent les hommes. Terribles terres inhospitalières et asymétriques, désertiques et arides, n'êtes-vous pas rassasiées du sang de ces pauvres habitants qui meurent chaque jour dans votre sein amaternel, dans l'agonie du travail acharné et forcé par les armes de certains.



Il ne faut pas oublier que l'histoire est écrite par les vainqueurs. Voici un extrait d'un livre d'histoire-géographie concernant l'île. Tous les habitants doivent connaître cette histoire sans quoi les sanctions seraient terribles.

Aujourd'hui l'île à une superficie qui s'est agrandie avec la venue des gros industriels. Des extensions ce sont construites, pour doubler au moins la surface originelle de l'île. Son climat n'est pas définissable à cause de l'atmosphère chargée en fer et en carbone. Cette surcharge de carbone implique donc un terrible effet de serre, où l'air est chaud et suffoquant.
Elle présente un relief escarpé travaillé par une érosion très marquée.
L'île culmine à 2894m d'altitude abritant un volcan des plus actifs, le mont « saigneur » car il s'agit d'un volcan effusif dont les coulées colorés d'un rouge sanguin dû à la présence massive de pierres ferreuses de l'île. Mais les autorités de l'île ont pris des dispositions face au danger éminent d'une éruption fortuite.

Ancienne île paradisiaque d'antan habité par des hommes pacifistes et idéalistes ; c'est en 1512 qu'un promoteur du nom de « Henri Wallon » qui arriva sur l'île pour la sauver de l'entropie de l'oisiveté dans laquelle elle était entrée. Cet homme a rasé petit à petit les arbres envahissants de l'île qui sont une source intarissable d'énergie. Les autochtones séduits par les vertues de l'industrie ont abandonnés leurs pagnes pour participer au rêve d'un seul, au rêve de tous, qui a élevé l'île vers la perfection industrielle. Ce n'est qu'en 1522 avec les extensions de l'île sur la mer, que l'île est à son apogée.

Larmor Baden bénéficie d'un développement rapide auquel participe son statut plus récent de région ultrapériphérique de Red-line. Avec un taux de chômage de 3 % l'île fait figure de sanctuaire de l'activité, résultat de la croissance encore soutenue de la population, qui est, en 1522, d'environ 40 000 habitants.
La démographie se caractérise par la jeunesse florissante de ses habitants, venant des îles des quatre coins du monde. Ce microcosme forme un mélange des cultures, formant une langue créole Larmorienne. L'île a été débarrassée de cette religion stupide au coeur de la culture autochtones.


Faune et Flore : L’île de Larmor Baden fut très variée. En effet on recensait plus de 1000 espèces de plantes et près de 51 d'animaux. Aujourd'hui débarrassé de cette pollution d'espèce sur la surface de l'île, on en conserve encore dans la réserve de « Vygotski » au centre du complexe industriel.

Quelques images de la toute récente et nouvelle réserve "Vygotski"