...C'est bon maman, j'peux partir ?

Après s’être mit au lit, Zansho essaya de trouver le sommeille, à force de tournoyer de gauche à droite il s’assit au bord du lit et se mit longuement à réfléchir vu que la fatigue ne venait pas, les mains jointes et les yeux fermés il ne cessa pas de repenser à toutes ces choses qui font d’un homme un homme la soif d’aventure, de découvertes et dans son cas de connaissances. Mais dans son long périple, il sait qu’il reviendra à son point de départ qui est bien sur son île natale, dans un sens il migrerait, le mouvement régulier observé chez de très nombreuses espèces d'oiseaux. Ce déplacement est, par exemple, une manière pour ces espèces d'échapper à un changement d'habitat ou une baisse de disponibilité de nourriture liée aux rigueurs d'un climat défavorable, mais peut aussi s'interpréter comme une maximisation des chances de reproduction, dans son cas ça serait plutôt un retour au source et de retrouver ce qui lui son proche.
A force de se creuser les méninges, la fatigue ne tarda pas à vite reprendre le dessus et enfin récompenser le jeune aventurier de toutes ses émotions.

L’aube fit son apparition et les premiers rayons réveillèrent notre oisillon qui n’allait pas tarder à prendre son envol sur le vaste océan. Après quelques regards dans le ciel, la journée allait s’annoncer très chaude et quelques litres d’eau en plus serait nécessaire à sa survie. Après avoir passé du temps dans la salle de bain pour se préparer car il avait la ferme intention de profiter des quelques temps qui lui restait sur l’île pour savourait la récurrence des matins de beau temps. Il s’habilla comme d’habitude en tenue légère bermuda noir, chemise blanche à longues manches retroussées et de ses sandales noirs mais cette fois au lieux de courir à vive allure au village pour retrouver les autres, comme à ces âges où tout nous semble simple et que tout est rose dans le meilleur des mondes possibles, Zansho sortit du petit hangar la chaloupe offerte par son père et des quelques vivres qu’il mit dans l’embarcation après avoir mis le bâtiment à l’eau, il entendit des personnes approcher. Ses parents main dans la main et le grand-père tout souriant approchèrent prés du jeune pirate.
Le grand-père tout en souriant dit :
- Alors gamin, prêt à prendre ton envol dans le vaste monde ? Tu n’as pas peur de te faire gober par un roi des mers ? Hyahahahahahahahahahaha.
Après s’être imaginé toute les situations possibles de se faire bouffer par tout ces monstres marins, la mère haussa le ton sur le vieux pour lui dire d’arrêter de lui dire ces choses la et qu’il devait plutôt se taire pour ne pas attirer tout le village, ainsi le père calma sa femme pour lui aussi lui dire de baisser d’un ton pour ne pas réveiller toute la populace. Après cette franche rigolage, le père tendit une sacoche de cuir marron vers son fils et lui dit ceci :
- Tient voila 10 000 berrys pour que tu ne meurt pas de fin, ce n’est pas grand-chose mais on espère bien que comme tu nous la dis, la prochaine fois que tu nous revois se sera sur un navire plus imposant que celui que je t’es donné et surtout fait attention à la mer, elle est impitoyable crois en l’expérience.
Zansho se dit alors « Quand c’est pas la mère, c’est le père «
La mère enchaîna :
-Et surtout couvre toi, les nuits sont froides en mer et ne va pas traîner dans les rues sombres, tu risque de te faire agresser, pire, égorger.
Avec soupir il se dit « Tient je me disais bien aussi qui y’avais un truc qui clochait, elle changera jamais celle la. «
Après tout ces bons conseils, la mère prit alors son fils dans ses bras et versa toutes les larmes de son corps, Zansho prit à froid versa quelques gouttes de sueurs mais après s’être rendu conte que rien vos un dernier câlin de sa mère et qu’après 3 minutes d’essuyage de nez dans la chemise du jeune pirate il dit à sa mère :
- C’est bon maman j’peux partir parce que la le village va s’réveiller et tout le monde va s’demander s’qu’on fous la.

La mère relâcha son fils et après avoir remercier une dernière fois son père et son grand-père de toutes ces connaissances qui lui on transmis, il sauta dans l’embarcation et commença a ramer vers le grand large et après s’être bien éloignait, il cria haut et fort une dernière fois :
- TCHAO TOUT LE MONDE J’PARS FAIRE LE TOUR DU MONDE ET APRES J’REVIENS !!!!!!

Et c’est ainsi que commença l’aventure de la salamandre et qu’il commença à rechercher des compagnons pour créer ou intégrer un équipage pirate.